VOLUME LI.
ABONNEMENTS :
Canada et Etats Unis -
Union Postale -
$1.00
$1.50
WINNIPEG, MARDI, g DECEMBRE 1913
LA LIBERT
DIEU ET MON DROIT
Rédaction ét Administration :
619 AVE. McDERMOT
- Garry 42644265
‘‘ephones
REBUFFADE À L'A RBE 0 el
| théor les ( : s-fri =.
ET AU “CATHOLIC RECORD” Mot dun des DT
| 1 itholique, ils x font entrer tous les pays et toutes
RS | les provinces de langue angla lu Canada mais en eXceptent pro
TEE dc | vince de Québe Dieu me ! Inva pas le pertes ni
Nous avons déjà signalé à nos lecteurs l'adhésior lonnée a|
re de défense des écoles bilingues dans Ontario. par plusieurs! Nous avons copieusement cité Te { parce que de tels 16
neitover rlanuda itholiques. lent d'attaques qui se l'ingratitude.
\ojourd'h ni r offro 15 pla r un magrmifi que hom- : -
mage rendu à notre race et à son clergé par le vaillant organe irlan
nn eme LEGISLATION DIRECTE
C'est une cinglante rebufflade à & ()'(rorman et au C'atholic|
lecord. | medias tite sd AR ae Miles
Th emande de relever le niveau de la discussion, Ill ñ s “f ù ji
‘ pe if l'a 6 O'Gorman tit prononcé le. paroles que lui En lé : le ps dé fa _ bien méritée ET les sde PSS de Re, Fam)
à publié dans le Cfisen d'Ottawa, reproduit par some an ue or? subir + la Æégislation ve 64 x F9 SAME:
e Nort e et commenté par le Catholie Record. L'oeu.| adoption, si jamais elle a lie 1 à un futur très éloigné, nous tenons à
vre cle igue fut-elle entach le quelques défauts, Fabb res gars La ns de ss SP Re. rer tt à plusie Le Le
O'Goriman n'a pas le droit de la rejeter d'un geste de la main, Mé [tisans de M. Norris en ont réclamé l'a na par le Manitoba.
le sn race, et In violence avec la
quelle prêtre “du Christ, mort
pour torrs le< up les. appe le
triomphe de F Lip rialisme britan-
nique, où plus exactement anglo-
sa XON,
Car ce que Mgr allon préconi
se, ce n'es î pas la he Situation de
l'Empire britannique par l'allian
ve égale des races qui l'habitent :
c'est au contraire la subjugation
le toutes les races au profit de la!
seule race anglo-saxonne, A ceux
qui osent parler de la conservation
de leur langue et de tradi-
tions, il dit tout proprement qu'on
ne fuit pas un pays comme une
tour de Babel où un asile d'alié-
nés,
Rappelant le mot brutal du con:
quére ant anglais à
“L'enfer de
leurs
ses ancètres :
ou C'onnaught il
{damne proprement tous ceux qui.
tenant se plonger
let
lordinaire, celle du prêtre est
le anguc | sent à adorer
Moins de dix pour | ne sont pas les disciples du Christ :
E cils se dérobent à leurs devoirs d'o-
n'ayant à ke
Connaught,
pas eu ed par
ne veulent pas main
dans FEmpire
unitié.
En l'écoutant, je me rappelais
ces barbares enrôlés dans les
gions aug"
péris alistes que ( 6sar, 1l ne se
haient pas à accepter le joug
Rome :
de
ils In livraient leurs bras
imassacrnient jove usement
peuples encore libres et trop fai
bles pour résister à la force-bruta-
[le du conquérant,
#
Muis si l'attitude
conquis et enrégimenté est extra-
*
remarquable encore, Evangile et
catéchisme en mains, Mgr
a entrepris de prouver à ses audi-
|teurs que l'Eglise catholique est
[la meilleure école d'impérialisme
le dieu de l'Empire
héissance, de charité, de dévoue-
me en admettant qu'il soit vrai que dans leurs revendications en fa ! ( e projet, tel LP rase enté en Saskatche wan, confèrerait à un!
eur de l'école bilingue les Canadiens-françuis sont mus par un sen-| nombre grue mel d'électeurs, co si per dant au moins € "+ P our cent
üment de race d'abord, leur cause n'en demeure pas moins forte ou TR des électeurs ayant voté 4 l'élection précé lente le droit de
ment assise | demander un referendum sur tout projet de loi dans les 90 jours de!
4 4 l . « . “+ . . 7" +
: couoma |sa sanction. Dans le cas d'un pareil referendimn, la majorité des 6
i nous Tue bien le sens de l'interview de l'abbé O'Gor-! décidernit si le proiel we éndrait loi erait pi &: Ce pr
n. dit 72% Le c'e Si hi 4 j : : teurs déciderait si le projet deviénarat 101 OÙ serait rejeté. e pro-
i hit 7 PTA est que les écoles francaises avec une connais- | x ‘41 son] à Î
nerf He d : ang t à | | | | jet per ttrait encore à 1 groupe d'électeur e#oual à AU Moins pour
i { ! ctle ro r « «ii! rat CU " * } «| ROUE 1 » È 3
nu " PESRE" NS gs qe DAS MAS! ent des électeurs à la législature de présenter tout projet de loi ne
que des éco atholiques anglaises, 2n6me sans une connaissance su-! k : : MS
folle À #: s # ; COUUCE El violant pas Ja constitution et n'impliquant pas un usage d'argent pu-
2 elle du françois, sont tout à fuit bonnes, naturelles et satisfai- : ; ? : . x n
4 blic, Les députés devraient voter ce projet et après ln session le fair
AT Ni , à ratifier grâce au referendinmn par les électeurs.
} invité : emian à rectifier & F rroenr 5 ?
r invité l'abbé O'Gorman à rectifier s'il fait erreur.| En résumé, deux pouvoirs de première importance: le referen
, : . “ H le ’ 1 1 net é 1
confrère poursuit, | ] “it +
uw [ ME" à , [oum er 1 Initiative
Ÿ H RELE | no effor er de transporter lans une sphère plus! Éd *
ie 2 AUDE. CPIM À pied | C'est le pouvoir d'initiative qui semble surtout avoir motive
tes les oppositions et obje tion des catholi Fr l'apponten des groupes catholiques français et allemands la Sas-
la ngue anglaise aux réclamations en matière d'éducation des Ca-|k, at “hew an. A bon droit, ils y ont vu une arme à double tranchant
nadiens-frança se trouve un motif sans fondement et îr nous nab É | qui. si » peut parfois dotner le bons résultats, peut encore dans
à savoir, ln prétention que le bien-être du Canada et de l'Eglise du une province de population mixte, de croyances diverses, devenir un!
( » à | A ! “Pire FA 1 a à | " : ,» . : e .
( una et est lan à jp dot ninence continue de la langue anglaise.| ;;strument de persécution aux mains d'une secte fanatique et
“L'Eglise catholique, dit l'abbé O'Gorman, favorise tous les idiôme-| treprenante.
‘t toi les ions.” Celu es ù dé “ai ais malhe : z
et tout les nat e . Cela est profon lément vrai. Mai malle u- | A nos yeux, le maigre vote donné, l'apathie montrée toute | et que dés ‘0 stholiques qui se vu 44
vs ent lit “tiCOott tte otre 6 07 , 0 6e | : nv 1
I i pour beancoup ce ti théorie n'est fortement invoquét | la province justifient la conduite de nos frères cat holiques
raie que quand il s'agit de répondre aux réclamations des} francaise et allemande dans la Saskatchewan
( liens-francais , lus sa rais ‘être and il s'agit de . é 2 K
\na fra € si et n'a plu a raison d'être quan il s'agit de | cent des électeurs ont donné leur vote pour où conti le projet.
a ce dre aux sumrons fort plus extravagantes faites au nom de! selg malgré l’active campagne menée par plusieurs journaux.
in lang le anginis,
N'est-il pas juste de dire que la législation dirdete étant vi-
gueur, la méme apathie se manifesterait, D'où l'onfvoit avec quelle
facilité une clique énergique et décidée et intéresse pourrait pré-
senter à la législature des projets dé loi injustes qne fes députés de-
en
“Quelle est la situation? Aujourd'hui, au moins deux millions
et demi de citoyens du Canada parlent le français comme leur langue
mmernelle, Chaque mois débarquent au Canada des
milliers et des
milliers Ruthènes, d'Autrichiens, de Hongrois, ete., qui n'ont pas! vraient accepter, IE resterait bien à ceux qui se croiraient lésés,
encore dit dix mots d'anglais. Le français est un aussi excellent | attaqués, l'arme du referendum, Mais combien peu effective en face
moyen que l'anglais de promouvoir les intérêts de l'Eglise chez ces! de l'apathie générale qu'ors ne peut secouer une forte orga- |
que par
d'Irlandais ont passé au protestantisme où à l'incroyvance,
à
|
|
|
Nous neet ds idées, sembièrent, au contrai- [à acelamer le joug du dominateur ouvrage qui “arrive bien à
|[inent,
de sacrifices: ce sont
tramps--en toutes lettres-æt l'E-
glise n'encourage pas le vagabon-
age.
Les paraboles de l'évangile vien-
nent à la rescousse, L'homme de
|Jéricho, dépouillé par les voleurs,
c'est la pauvre Angleterre: le faux
son
lé-,
Devenus plus im-|
bor:- |
le: |
de l'Irlandais!|
plus!
Fallon |
des!
il
a
pitaphe
— ——— Î
!
En aucun li u, des morts la rendre n'est muette,
Qu'en songe croutent Les viva À,
Et leur pense ave leu) poussière s'emaette,
E parse [L la met i des ve nts.
{} passant, sous ce tertre obscur. qu hcvrbe couvre,
lyant pet loin de l'erreur,
Dans son cercueil de hôtre ou sa bière de rouvre
Repose un. ancien laboureur
Simple ment, sans regrets et sans mélancolie,
Gugné pur le somme divin
Son oeuvre terminée et sa tâclu accomplie,
ll a quitté ce monde vain,
Lt la croix qui s'incline ct qu la ronce endar
Synbole de son humble « rt,
lei-bas désormais indiquera La placé
Où ait le vicua paysan mort,
Les bovufs qu'il gourernu ‘net qu'un tendre père
Et quidait rien qu'en les nommant,
Le
chien plaintif au seuil du domaine prospère
Le cherchent encore vaaueinent.
Les ut {
sillons q qu les
Qui connurent son joug aimé |
sur
friches, les choses
Pleurent encore sa bouche et ses pau) picres closes
| Et son visage inanimé :
'. du so éphémèr et pueifique règne
de ]
Si prestige est abattu,
La vie, autour de lui, comme autrefois s'imprègne
D'i ne odeur du male vertu
|
| £ F, fers commu jadis du labeur ‘ remplaire
Que ur lé qua l'aie ul hunurin,
pour honorer su mé Moi ré et lui plaire,
Ont suivi le
Sex fils.
chemin,
nent
Et c'est pour quoi, de vain cette fosse ignoré ,
O passant ému de ferveur,
Comme si quelque mythe agreste l'eût sacrée,
Longtemps tu contemples réveur,
LEONCE DEPONF,
heure, pour remettre au point des
faits historiques tronqués ou défi
gurés par des historiens mal ren,
seignés où mal inspirés”, et l'au-
ï L'ALCOOL
nouveaux venus. Les prêtres français ont toujours supporté le far-! nisation. | prêtre et le pharisie n qui passent !teur a rendu un véritable service MEURTRIER
deau des missions dans ce pays, Les prêtres et les évêques français {sans le regarder, ce sont les Nutiô-| à nos populations en écrivant cet
ont organisé les nouveaux diocèses dans le Nord-Ouest. Le fovet À 3 liè |nalistes: le bon Samaritain, c'es | important ouvrage-trois beaux y
ais a, au Canada, fourni plus de vocations que n'importe quel MGR FAI | ON re, à ne singulièrement les|le soloniut dévoué qui vient à son | voluges superbement illustrés qui (De Z t non)
fer Lo elle des races de ce pays se dévoue pour les nou | y er w7 | 4 on no LEONA, Le ne de famille M Le | se vendent 59.00 ou $6.00 selon lo Aucune maladie, pas meme Lau
ons catholiques dans l'Ouest Canadien? Les Français: les! 1 Abe à A SAME ds MAN- convie ses amis au banquet, c'est! qualité de la reliure, Nous vou-| tuberculose, ne fait autant de ra
FT x TR BE ral drone à cap cs quait pas de piquant: un descen [le bon peuple britannique: les | à ir né seuleme uns! vares que l'ule isine, CU »
runcuis, dans le moment : il y a vingt ans les Francais: il ÿ a cin-| ET L'EMPIR HE A Ch il dau TE pepe, que; ler! arions le voir non seulement dans! vages que l lcoo]isme, Un tableui
| Mod: "ste D Me US à an! nant dE [faux amis qui, sous un prétexte! toutes nos institutions publiques, comparatif des décès dus aux di:
juunte a si rancça si R In sie e, cs r'ANÇAIS, 11 V a sil un Jomonyne du plus rigide des! on un autre. se dérobent à l'invi mais encore al foyer de tous leslverses maladies illustrera mieux
es, les Françus: toujours les Français. | GET fondateurs qu presbytérinnisme, | tation, ce sont les adversaires del Can: udie ns de ce pers un tant soit | mu pensée que font ce que je pour
4 t tire sa conclusion, | (Le Devoir) » faisant le En à de la to-|] impéris ilisme, les trompe qui re | peu aisés, Voir l'annonce ailleurs, |rais en dire.
ke fait, ceux qui ont accompli tout cela, qui accomplissent | Chaque fois que lavantag [lérance, de li liberté et de la dé: !fusent de prendre “la croix du sa ee Je l'emprunte à la “Rhode Is.
lent que la race francaise leur est une il de t in force à eu | m'est donné de prendre contac me un C Pa” idien-fr: ra} ais |erifice impérial”, Oui, vous avez land Issue” de décerabre 1912, C«
1e) { Î e Iran se :eur es * alce et une Torre à eux, à É * ] È ; ni " ci & : ‘p - “: 2. 2
Û k pub à lavec un groupe quelconque ‘de-| posant le principe des nationalités! bien lu: la CROIX de l'impéria tableau donne pour e ne
r race, à sa solidarité religieuse &t à Sa pléte, nous devons, avant | : ù e » à Even à à à 0 | 1: ! ; u ' nie ee è
| | provinces anglaises, une doublefcomme a sa ivegarde essentielle lisme ! (malheureusement la revue n’in
è eUF FeTUSeI sb CAFE SYMPAPAIE,.CONSFALEL la fausseté, la tri | pet isée revient à mon esprit: de la tradition britannique: nn} J'ai entendu, de pus quinze ans dique pas laquelle) aux Etats
grande fausseté de leurs revendications, | ‘Comme il serait facile de s'enten-[évêqne irlandais, acclamant, avec! chanter et hurler bien des hymne- SCOLAIRE Unis les statistiques des décès dus
Notre confréere tient à bien enfoncer le clou qu'il rive à l'abbe | dre avec ces gens-là! Quel mal les a Iyrisme presque délirant, lim: !au dieu de l'E mpire ; mais sur ce aux prine ipales maladies.
O'Gorman et au C'afholie Record. W pousuit |faiseurs et les farceurs de la po- |périalisme anglais et lhégémonie| ton et avec cette note, jamais Ce Voici ce bleu:
x |liti | " e : , œlo-sax » cnprpnnn é
Æn* je {litique et 1: »sse font i anglo-saxonne, anus \ isnre à & 4 4 adie "
“Notre sympathie! Cet le terme: Irlañdais nous:mêmes. c'est | tique et la pre font à notre £ dd. mélange de jingoïsme et de mys Éilanémis Onsennhar dé Maladies ) Décès occasionnés
à Vie |pavs en cultivant des préjugés maints égards, le troisièn de ticiame est d'une rare nouveauté. RE fonidune vie RE UTPATE Vérole {picote SO AS SES 181
[RE "ph s profon | regret que nous qisns que dans cette juestion | d i facile de déra-lces discours fut le lus intér if | le l’exéc [PAINT-VONITRCe VIenS, A HUUB- Los ù 1; {1
ru ] si qu'i auri ait été si facile de déra discours fu | PR au talent de l'exécufant.| {ie Qu Révérend Frère Direc- | Fièvre séarlatine ..,.,,., 11,40»
es tr! undais de Québec et d'Ontario ne montrent pas la sympathie! ciner !" sant, Mer l'évêque de London est i woûté le ce je l'avoue # $ : Divphtérie “ o(
“:] PAL OP ë 1 goûté le morceau, je l'avoue. {eur d'établir la première caisse | Diphtérie et bp à ….. 20,
ils levraient sr Nous ntons de notre devoir de leur dire Voici bien une vingtaine de con- |! 0rateur à van Ce n'est le comme une belle tirade de théâtre d'épargne scolaire au Manitoba et Typhoïde ouest 23,100
si même parfois les revendications de s { ss (! iens- | #z | la ne pas, on sen doute bien, le tvpe du » h: à à dé : . : 4 4
hs one: pars «son Dantige lications de no hs ke Canadiens | férences que je fais dans la seule}! baie & d P | jou une harangue de démagogue | | probablement dans tout l'Ouest, |Cancer .. sosssssss 97004
français peuvent dépasser la mesure, les Irlandais d'Ontario et del province d'Ontario, depuis que le! PEU" ateur de l'onetion_ sacerdo- puissant. C'est une excellente innovation, | Preumonie ............, 70,04
Québec sont dans une pire situation. Non seulement parce que leurs| uationalisme a pris corps. Invaria |tale, per NE de la sd Mais je n'ai pu me défendre de! {out à l'honneur de nos éduea | ubercuiose ..,.,..... 81,7: 20
à : : . | »S ; arleur ne ? ;
revendications en faveur de l'angluis dépassent la mesure mais eu-|blement, j'ai choisi pour thèmes de | "22: Cest le, Tr u ga CB lme poser une question: que dirai |teurs catholiques et qui mérite Effets alcooliqfes .. 15, T8
: . . « ‘ x ser } à llgence us Vi-| . : . , AE pe ,
re parce qu'ils n'ont pas l'exeuse qu'ont les Canadiens-francais fes discours l'un où l'autres des|*T\1 Pal kr à r# , Le “in va: | vor la presse jingo, et même les! bien les éloges qu'en fit Mgr Béli- Ainsi ln vérole a causé 184 “dé
1 . » 1 1 . 1 " « . . 6 à * "
Nous comprenops qu'un Canadien-français dépasse la mesure dans|sujets * dangereux” qui provoquent li Pi r | a ins hr se k |trois-quarts des journaux catholi | veau, à la grand'messæ de dimau- Cès, la lièvre sarlatine 62 ne
Q lee, e s les ons s »S > s . s Le "Dhoïc 7
ent siasme pour sa langue maternelle: nulle tradition nati a guerre civile, disent les prô-|;. l | |ques, si l'un de nos évêques “vieux {che, à la cathédrale plus, là fièvre typhoïde 127
vx % Lu J br, 2 # *s "1 54 L LIU Sn abiects de la fausse conci Lorate Pl populaire : he es ta pui | wenre” emp »lovait ce langage et “à lidus À ubereu'osze 411 fois
inle de ce genre n'exvuse l'exagération des réclamations irlandaises! ‘ » . pe lsante, beauté un peu lourde de },! * : à °° | 1 le lcooli 4 s
. | } ,… t t rtoi encontre] 7. , ' ’ metttait cette passion à défendre LL : £ +. 1 . .. et les ellets alcooliques 830 fois
en faver de le Lite sci à nt partout, je re cn FCltôte, ampleur sonore de la voix, | Faut Ne sera Ta ga Ces caisses d'éparmk F rt 4 plus il
. : à à ni s sv! ) ss [e] s 1 : à . | 5 LE 4 HUIT SS » ee
Et notre confrère infatigable pousse encore plus à fond son ar- prés SE De it oujours le force du biceps, Mgr Fallon fut, ; 2 y ‘1 jexis stent déjà nombreuses dans la Cec a mè à a *
a 4 pius à . 1 le plus su ère de connaître |”. LATE. . |ine à précher sur ce ton l'évangile | » de Q ét se et y d à eci in amène à constater com-
cumentation er lit-on, le champion des joueurs de! 3 Te fi us | el | province de Québec et y donnent ; Bure l'hvgiè {
e idées, « 1. du Christ d'autrefois —de Celin ! excellents résultats. M. l'inspec- | n05 Bureaux d'hygiène, soit
“Quel bien la langue anglaise a-t-e.le fait à la race irlandais?! L'autre jour, à Saint-Thomas ver de son temps de collège. | (ii à dit: “Mon royaume n'est pa- |teur Brunet s'est fait ici Bug 4 Etats, soit municipaux, sont pett
Les 1 eur itholiques en dépit de la langue ar-| j'ai fait un plai lover aussi rom pe ag nel, 00 j'éroniam ide ce monde”, on “Rendez à Cé 1 | dent et dévoué propagateur D'au conséquents ayee eux-mêmes, Si
D LR i 1 l P! à auss!I { Se " 4)S01 y B ur . att- ci à n
glaise ; Irlande, après la Réforme un instrument | plet que possible en favenr de la PR É A se pe 1 vec [ie we est à César et à Dieu ce qui! uns l'ont raillé sous prétexte que |" C5 de vérole se déclare, ils
le démolition du catholicisme, si ls considérèrent et à | conservation et de l'enseignement}, n * térèt inten: # por à p a. | Bleus les enfants n'ont pas de sous el ne peuvent gttre des villes entières
. x à Pt “ un ere en»e on As à Ci | . 0 5 : » ù à: à ose :
l'employèrent pendunt des siècles les maîtres, les législateurs et | lu français: et personne n'a paru PE 1 | Ek risque de me faire traite | peuvent faire d'économies, Le[®® Aura taine, Même ch pau
; ; : 4 . Fes es: rie. 2 «e de sa thèse politique: il n'a ap- le Se neli L y : agir re au la fièvre scarlatine et pour la fiè.
éducateurs anglais. Mais les Irlandais tenaient à leur langue; ils! particuhèrement scandalisé. La porté aucun argument nouveau a [de tramp et de fou, Jincline à temps à tôt fait de justifier M, vre tvphoïde, et c pa t
fuignt l'Irlande, la parlant. IIS vinrent au Canada, la parlant. | endemaun, j'ai répété en substance },,, pui de la doctrine impérialiste, [STOIE JS si les méthodes moder- | l'inspecteur Brunet. be on ge ere
| g Le ° as à faire cas. | n 1 ‘
Mais parce qu'une cruelle politique avait décrété qu'il ne serait par | es principaux arguments de la! C'était même d'une assez grande |** <g Ds PU VE faire Fa | 7 bateau moins dangereuse qu
" _. : À d é me > V0 »\'# Be “ofossenre ! : ser > tes 1] { LU re, H L : PRRVE PA
ée qu'une langue en Irlande, ils ne purent ni écrire ni enseigner |" le. m6 ur ÿ: 7 pros Fr Ur jeunesse comme raisonnement : Le +» il mani Û y” Dhs Fs4 Quelques jours d'expérience ont | {alcool puisque celui-ci fait 830
l'irl s, E s, leurs desvéndants, nous n'en sav FLN 'OPTeS QU L'ONU FRS 1 ‘ choisir 1 ata- |: "707" FPE 6SL pis EUCACE euffi à démontrer les excellents ré-|:, 1 j
l'irlanduis, Et nous, leurs desvendants, nous n'en savons pas un mot.|,,4e, Canada doit ch #5. a #-! pour gagner les coeurs à la Vérité! Moss Pie robe à | vietimes péndant que Ia vérole en
Mais, chose stupéfiante à écrire, quelques-uns d'entre nous apportent: | LL a à ds ment entre l'aute tien aux Etats D ARE su tés us cuisse épargne! fuit une, la fièvre scarlatine 6 2,
} . . F: 4 emande du principa A Uuis. l'Indépendance et la Fédé CATE D'OUAr830, scolaire J miers - a :
plus d'arrogance que les we arrogants des Anglas à proclamer qu ES a « nl Le x P x pi J" l ni l'Tndi pe A; et la I cu | \ wi = 4 M À LA mes Se à ét la fâvre typhoïde 127. A près
A : é . meme { e e TES oles sr ( imperiaie, 241 2X10 1 est ! »Xistence on > «4 A Caisse pa rang: +. î jy
l'anglais et nulle autre langue devrait être la langue de l'Ontario! aj de de l à | TANON ERPETIPES, ES ANNRTION, D 08 d'existence ont attiré à la caisse la! ces constatations il est clair que
: ; me eue . \ langue qui fait tam horreur à pas désirable, l'indépendance est |jolie somme de $113. L'immense Bureaux d'i ne ve
ou du Canada. La triste expérience de leur pays auralent au moines | r F Il t à l'O Nenti-!; ib! édé i | jorité 6 été ix.| Yi M: WT PR
ju ho + ; | Mgr Fallon et à range Senti-| impossible; donc, la fédération [malore des dépots ont été de dix, | ents munie ipaux, gouvernemer tu
au apprendre aux Irlandais canadiens à se montrer svmpathiques et! +27: et les murs de l'école ne se; iriale es écessaire a Ing e -
tolérant sur cette que tion.” ï nt pa icroulé 2 L milghe : a Le D re es pre | pe. Eh 7. +“ * ê d Etats « gouvernement f ra
lcra : l » * s» pas ec les, lle es acile à rés ar @
ae see | SE PAR UE ER ns FRE. 4 elle est facile à réaliser et nous 0 ’ | s font une guerre acharnée à ll
Not ge rère n'est pas à bout de son argumentation. Lirai “….. fre tous les biens sans présenter | On ne saurait, comme le recom-!c00! puisque les lois se montreur
une autre flèche de son carquois, il loge en pleir coeur de l'igno Mais l'expérience la plus inté- aucun inconvénient, | pandait Mgr Bélivean, dimanche! si sévères pour la vérole qui es
rance de nos à lversaires, |ressante, ce fut celle de London, …. ——— dernier, trop encourager les cais-| 830 fois moins dangereuse, Mai
“Nous nous demandons, dit si quelques-uns d'entre eux sa [au banquet de Saint-André, I! Comme tous les impéri listes, | Voici l'époque des longues veil- | ses d'épargne scolaire. Elles sont non, il n'en est rien, Au contraire
vent qu'après T50 ans de persécution, 730,000 citoyens de l'Irlande it trois discours: le premier, de Myr Fallon ne raisonne pas et nellées et des lectures attrayantes re- | une excellente formation de Ven-|l'ujeool se débite partout, eu
: , sx x 4 e e - : . . . | fus Cu ‘elle pl Û
30,000 citoyens de l'Écosse, et plusieurs milliers d'autres dans tout le! M. Knox, ministre presbytérien, prouve rien : il dogmatise. Aux!venue, Nous sommes persundés que | fant. Outre qu'elle lui donnent! plein jour, jusque sur Jes rues
monde par lent encore l'Irlandais Nous nous demandons s'ils sa Fe porta le toast de l'Écosse et obxtactes sans nombre qu'offre le|les loisirs de nos lecteurs ne sau- |le goût de l'économie, elles lui principales et les quartiers ‘ex
‘ ju idais à un fuit sa réapparition dans les ée es Ecossais: le second fut le système préconisé, il ne daigne!ruient être mieux employés qu'en | donnent la vrale notion de la Va-! plus aristoc ratiques de ne, sv 4
Ls' dà Trails ea lobes D'ÉOUSS tés on toen | DE l'Empire: le troisième, pas accorder une pensé les dé- | parcourant les pages si intéressan- | leur de l'argent. De plus l'écono- | Les pouvoirs publies veulent bien
rie" ” us * |elim de Monseigneur Fallon, évê-!uione. comme ss adversaire [tes de l'Histoire de l'Eglise dans |'me, la crainte de la dépense HU-lasoir la bonté d'empéc il
. Et cel k jue de London, censément sur k u'il traite tout bonnement dell'Ouest Canadien par ke R. P.] font éviter bien des mauvai-| role de tuer une persont ais lle
Ke ere. are. k | ‘ ! Canada, fous et de #ramps | Morice, o.m.i. Font: habitudes, permettent volontiers à nleoo!,
Ve ME ah eu l'histoire des Irlandais dans l'Amér Les auditeurs, loin de s plain! Mais ce qui m'a émerveillé, c'est! Comaner l'écrivait à l'auteur ne En avec force courbettes, d'en a
que du Nord. Et notre conviction est que, au bas mot, j millions 4re de l'antagonisme des hommes | l'ardeur que cet Irlandais mettait |l'Hon, juge Prud'homme, c'est un | A quand la fondation de la se-"siner 830, D'où vient cette an
conde caisse d'épargne scolaire! malie? L'expliquers qui pourra.
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_RAGES ET DES LANGUES
M. Henri Bourassa fait à St. Thomas,
/ rique de la question française au Canada et démontre
FOIE NRISRESPTRISSTIEAA
son caractère ethnique
® Saint-Thomas, Oni.—M. Henri!la langne de la diplomatie, de la
à Büoura 3 et le- !ltiératuree, des arts et des sien
M vent 1 ! nnble au ( -céx, (est médtmm le plus pré
2 | ] | } |
æ. din { b, 1] an traité du promis , et k pius exact pour exprimer
* lex races et d ngurs an Carta HELE « variées d'ume pensée
me An, 11 a développé d'une faco IPerTenre
+ sple | y Shéurrie 0 Quar 1 Le
æ gr [8] rvat] » «| if Dr
D ethnique de la : ' niale et d
M. Lo son 1" pe nt
sement et a Été chal nent d pren h
k +” li, nations cultivée
. ta ee. os os LE ei | ie \ lo iounnes CuiILIvTes du
” notices, ct € rés É + MI, I2OUTrTRS L'anada tiront ln nécoesail de
5 fa. ne peut être rés 4) NE Se | faire tout ve que les autres peu
k x: 40 © rer br Re le: font, dr lire Sage db» de
+ les préférences arbitraires d'u ai à HN A Fes 4 ne
à a déjà commencé dans
Le Les te Agrieg Il est dr uelques centré instruits du Cac
var des Tans Isioriques el CS innda:.
condition fon lamentak {_ Alors, par quelle inconcevable!
Le Canada fut d'abord for ié | folie est-on Dorté en certains mi-
ét colons J par des F rançcaik Du- Lenx d'entraver on méme d'abolir
rant plusieurs années auprès la! l'enseignement de cette langne
rte. la pstji té le nos ha-{ dans un paye où elle est ln langne
tante était francaise, lasaternelle du auart de la popu-!
Les tentatives pour lui imposer lation. | de
k r a pt lu conquérant € | Meme dans le domaine commer
” Area (HE ont été Va rer amis A nb Rd
meilleure garnntie nr 3 ins titu tic Sa Donne dues le { des la. L hs des
® britanniques un Canadu, Robien Bises" de résultant Fos
: A pre RS D US ed [1 iguorance a“ de notre état l'es-
rivalité entre les dé ux rives |. tnce coloniale, est , 4 DV 5
© l'oenvre de 3 Conféds ( w À En le monde entier tient dans les
héaliste Da he AA de! suntre coins de l'Empire britanni-
Le - À tri pr "el que. Quelque: e anaciens, cepen-
» l'ho l'Etat qi fut le pr Mau Poètes ie Jes Etats
tipal instrument de la Conf rte LE ]
a Me Lie M Donsld si [Un ii Pré mt pour que 4} que cho
const! tion mt! el di re ki lala L rm pi rs ins Aire
“ D'us FL de |devrait pas oublier que les peti-
r a pee Fr TE le de lingue anglaise ue for.
# de religion, de propriété et de per He nt qu'une minorité de la popu-
sk‘ lisg d ‘ {lation totale de FEmpire britauni-
! ee pr $ ie oues anglaise ot fran |‘ Fine ar g Leo FREE, le
» chaise sont officiel es 1! mn seul Fe US Et pins Re 775
+ Das ae 7 f Diuéhe | anglais, le moyen le plus effica-
+ ment L 1 1 provin { June e de communications commercin-
» Re? toute l'étendue du ©] ph gr que des coramunien-
“ L a . .. {üons diplomatiques,
e Ro autre Cole instru TON! jp Amérique seulement, au
… pPubliqne a été placée, nves. CEE | lb de li Rio-Grande, vivent!
* taines psirictions, sous Î0 contrô- |? api ne au soixante-dix ‘ni!-
\ de ct la juridiction des divers! is, » Latins, d'origine et d'é-
gouvernements provinciaux.
Si done le Canadien de langue
franc aise 4 droit à l'usage officier
de sa langue dans chacune des
L
D adon, Et dépit des nombreux
roubles et révolutions poñtiques,
es nations eroissent en popula-
tion, en richesse et
|
!
: ovés de FAmérique du Snd par
|
|
ta
|
1
kr Dont en eylture.
provinces du Dominion, le gou Dans les différents rapports en-
vérnement de chacune de ces pro-
vinces doit lui fournir les moyens! in. gents canadiens du Ministère
le perpétue “A0 Fi “es gue et Ia e + du Commerce à Ottaws. on donne
% sg Fe ur : "1 oles publi line ijablement au commerçant
‘Ve s pour lesquelles 1} paie $. PATT onnadien l'avis de comnui quer
ae taxes,
espagnol où €
Por equ ni nierait-on aux fran | 5ortusais on en f aniçuis, mais ja-
. lectuels de l'Empire, Vint même
un temps où les décrets du sénni
furent affichés au Forum dans la
langue du vaincu,
Je même de nos jours, il n'x a
gs une nation ou une vue cle
Drope civilisée qui n'ait pas
reçu de France quelques éléments |
ui Canada, Il y a des gens qui
bent constamment que le Cana
la n'est pas un pays anslais, mais
ie confédéraiton anglo-françai-
se, où les deux langues ont des
iroits £gaux. En qQuire, l'anglais
n'est pas seulement la langue de
la Grande. Bretagne, il ailssi
est
+. de sa civilisation, Et entre autres [la langue maternelle de ls répn-
* P'Angleterre et les races britan- !blique: américaine, Les communi-
hiques sont peut-être celles quilcations sont beiueoup plus faci-
lui doivent le plus les et plus nombreuses entre 1:
Un grand nombre de “jingos | Canada et les Etats-Unis qu'en-
canadiens seraient ébahis de con [tre le Canada et l'Angleterre, En
naître le nombre des lois, cout conséquence, et aussi par suite de
mes et institutions que l'Empire]la communauté des iiomes, les
sur lequel le soleil ne se couche Emagazines américains, les jonr
jamais à empruntées où héritée. [nsux, les publications de toutes
de ce petit pars situé au sud defsortes inondent simplement ke
la Manche. pays, Ds forment ou plutôt ils dë-
0. Plus de la moitié du dietionnai-| furment les esprits, les habitudes,
+ re anglais est compost de imots|la moralité d'une grande partie
français dont plusieurs sont au
jourd” hui disparus du ditionnai
Canadiens de Ingue anglaise,
La seule partie du € anada qui ré
des
pe francais. siste d'une façon pratique à cette
Le français est le véhicule in |subtile influence, est la provia-
2. ternational au moyen duquel tous!ce de Québec.
© les esprits supérieurs de l'anivers) On a pu prétendre que le pa:
ro Ces leritirime eu la loyauté du Canu-
conmmubiquent entre eUX.
t .
Ontario, un histo-
que seul le français conservera À la race canadienne
da suglais n'ont pas fté ils à ï
plus vieux et le plu
par «« pipe d'assimilation | fprtemeit éproné des Canadiens. |
|mentale. Le qe le dira, L'in-|est traité en ennemi on en étran: |
vasion du Canada par ke eaphintiger Mans plusieurs provinees du!
aiméricain, Faccmissement : cms tCanadastes barrières du pars ont
liant des 44 baugres comuvere: aux mé muvertés toutes wranides au}
vec où sans réciprocitées ls df-flot des pures étrangè aux |
perdance iproque des svatè |clnsses les plus dégénéréés de la
mes de tra part “des deux Pays A | Gérant Bretagne. Dans leur ab-
l'absence
tre les
nA la.
faire
» de relations étréintes en lsarde frayeur de la “domination!
différentes parties du Ca- Lfr ane”, certai lers an-!
toutes te cansés tendent n|giais au Canada ont pris les moy
du Canaita Fee be wpuns | ns ls plus efficaces de dép safe
le Ja le
len
linesure le tributtire fépn. | der deux rares dés avantage:
bligne américaine, Quand unefdune communauts miles te eom-
| considérable dn pays auralposée de races et d'individns qui |
“annexée mentalement ethn'ont rien de commum avec lesl:
“ormmercialement, 11 serait peu! pionniers du Canada ni le plus]
sage d'en metire à léprenve les! Hfiger souci on respert pour les |
liens de In loyauté. traditions on les institutions bri |
Les Canadiens français, grâce à lianniques.
la conservation de leur langre et Si le Canada doit rester britar .|
le tout ce que la langne emporte nique, où inème canadien, 3} us |
avec elle, sont mieux où éparés à {grand ue. ue l'esprit pa a
résister à cette assimilation. Au !prédominé à “époque de la Con |
lien d'être combattne par la ma-!fédération <ost raniné et que le
jorité jle langue anglaise, on au-!deux races Sinissent de nouvear|
rit dû l'encontager à <e sépan- {eur lt base d'une association qu
dans tout le Canada et à op-|préserverx leurs meilleures Cradi
poser une barrière à. l'envahisse- {tions et fera de leur double na
ment de l'américanisme,
|
|
| Au con-{iionalité, I sonche prinetpale de
|iraire, pendant que le :
Cariadien!la nation canadienne,
CELUI QUI VOLE LA TETE EN ms
Les PEN de l'aviate ur Éénoue en Belgique
1
|
|
|
Gand, le 3 novembre. lnaintenapt pré départ: Pé-
| Changement de tableau: le! goud va faire un rt) tour d'essai
| temps détestable et maussate deavant la grande et définitive ran-
lt Toussaint a fait place aujour | donnée, et c'est Blériot Ini-même
l'hui à une température exquise.!qui tourne l'hélice... Le moteu
lans le ciel d'un bleu profond 6ù/renfle: le stabilisateur, où Pégow
{traînent à peine quelqnes Kgers!a fixé un frais bouquet de roses,
nuages, le soleil luft de tout son se lève, et l'oiseau part, bondit sur!
selat, [fait splendide, et Pégond|le gazon hésite quelques moments
l'audacieux et populaire élève de avan nt de s'élancer définitivement
Blériot, pourra tantôt renouveler | dans les airs, Tous les yeux sont
devant la foule immense accournel'aaintenant braqués sur le frèle
pour assister à exploits, les’ oiseau qui monte avec nn bruit de
| fantastiques prouesses qui l'ont {métal dans la lumière ardente, sv
fait acclamer à Paris, à Berlin, à tourne, vire, s'élève quelques
| Dresde, et hier encore à Hanovre. !centæines de mètres une {i-
Car hier soir, le pilote français sance admirable,
tait en Allemagne, et il lui a fal |
voyager la nuit pour arriver à |
| temps iei, où le comité exécutif de
RL EE a voulu que LA elô |
pes de la “Worlds Fair” coïnei. |
lât avec cette sensationnelle en.
|Hition.
ses
à
avec
Lu Un premier essai.
Et soudain un eri part de toutes
les poitrines haletantes: l'appareil
la complètement eulbuté sur une
jaile: on a l'impression que l'avia-
ltour, qui ne s'est pas fait attacher
A la recherche de l’aviateur|P°ur ce premier voyage, va être
| précipité... Mais ce moment d'é-
| Pégoud n'a débarqué à Ta moi ne dure pas: l'appareil, docile
que e8 matin, à 6 heures, et il y a [à la manoeuvre, a presque auss-
ou un moment de dernière inc puiée
tue, eur on ignorait aù il était
descendu: Blériot lui-même s'est
vu dans l'obligation de faire le
tonr des hôtels pour retrouver son:
élève favori et l pass au champ
d'aviation, A9 h.
normale :
puis il vire &#nouveau, presqu'à
pie, sur l'autre aile, et se balance
aïnsi à trois cents mètres d'altitu
| de, mollement, avec cette grâce
| lénnrnoynnte qu'ont les mouettes
F 2, Pégoud était !que l'on voit, sur la côte, se pour-
to à la plaine Saint-Denis, une! suivre au-dessus des vagues,dans
plaine v rs bor lée d un mégrit| la lumière d'un beau jour d'été.
tt repris x position
De toutes parts, les bravos cré-
Si pitent et les chapeaux se lèvent
nopl an tout neuf, à peine différent
no-
a
=
w.
L. 2
Li
Li
Les
LE
1
#
Li
Lu
wi
Li
“ “ions po au, point
ET . LS '
= dé del loie | vers le ciel où l'aviateur poursui
4 vais nn Canada en matière de lan În ai en anglais, Si, au lieu de RE ue re pee M <a vertigineuse promenade, Le
pa 4 es d roits el privilè que rier À “RM: et à gauc he que le sea Fa net re ouCIer 1 Dou- monoplan se cabre. redescend
À s. n volontiers accordés. aux|Cana:la n'a qu'une seule Hingne, [EX he a nt e brusquement, puis remonte et se
me Doers dns le Sud-Africnin et à! nou nous vañtions an contrain | Pégoud se trouvait R, revêtu de! couche sur l'aile tantôt à droite.
n toutes les ra es le À [E rai cjaue c'est un pays bilingue, Lt là tenue cluseique: jersey blanc, ant gauche, présentant au s0-
D 07. parc que les Gunadiens-f ‘an Lrelations du Canada avec | guêt res hautes, casque de cuir en-{leil son ventre doré, Puis, un lar
D çais ont mit pendant un sièele SE pay seraient grandement facili {veloppant la tête et découvrant le {ss vol en spirale, Pégoud redes-
" den les pus let tiens dé [te { visage, où les venx sourient mali- | cend enfin donceme nt sur la plai-
per ous DERANDIQUES À | On dit quelque fois que le hilin-|ciensement au-dessus de Ja fine! jus, au wilien d'une tempête de
pl En dehors de la tuestton leleuisme est un obstac le à l'unité | moustache lsonde, Tout de suite le bravos.
ed droit et d'équité, la langue fran. | rationale, Un digne prédicateur 4 | pilote a grimpé sur le fuselage et |
M Guise devrait être chèrement con | fait l'autre jour à Montréal, l'ex-| s'est installé au volant; on a l'im- La boucle.
æ servée au Canada comme l'un des! srnofdinaire déclaration que le! pression qu'il va tenter un dernier | mi RL AS
æ fhcteurs les plus puissants de no! Canrda était un trop petit pays! vol d'essai: les mécaniciens se sont |, “1 RN SRPOHE PANT. 26
s, , » * » . , “4 21: ; € » )
D tre avenir nation: al. hé ir vonserver deux Jangues. |atitelés à l'appareil et l'hélice a} S'Bens 4 Du lides nl
14 : “Rae. . "2 : 3€ Û > & à reteiles
2 Le français joue dans les temps! Evidemment, ce bon Monsieur n'a | été brusquement mise en mare me É 10 ites er At 29e SAT De
l * « d » j »1}, i'e-
= ,modernes le role du gre das pas entendu parler de la Relique fs" levant nn véritable nuage où, de L- spi achent à Fe ss
» aérienne »
L Pantiquité. Après que les Ro de la Suisse, dont lun a deux! dans la fumée bleuâtre qui s'é- apais 8 ts Me 6 mon ê
” HU L J es “ 0 dt
M mails eurent conquis la Grèce et|laugnes officielles et dont l'autrelchappe du moteur, les feuilles une À vi eut, | SROMRIR far
+ . Lu N » - 6 0 -
c l'eurent réduite au point de à vue lon a trois, enseignées dans les! mortes dont le gazon est jonché "si « Il s6ù une aisance stupéñan
, Nés : lève à € api
æ politique aux proportions insi-|écoles publiques et employées li [dansent une ronde fantastique $ s6l8ve À ana CeptR, . six
> gnifiantes de lune des provinces! sement dans tous les services plu: |à Mais Pégoud ne part pas: pen-{" dyae ane Ps di put 7
à secondaires de Empire, ils!blies, On peut lui rappeler aussi! dant que le moteur, seconant A Encre au “attend P* rs “
Ed étaient <i fermement convaineus del que les Suisses et les Belges ont, | mécaniciens agrippés au stabilisa- | Den ag à sr rs nt attenque, nr
PRE € ji à à e pl rer x sg
# da supériorité de la civilisation! depuis des siècles, montré le plus | teur, il se borne à régler les appa- | pe vient de plonger, puis des
À PA V nbrer et d'est à ce ont que
# grecque qu'ils hellénisèrem vir [grand attachement à leur car LV de marche: mais cela ne dure! °* sh, pr + ce. moment tr
" En sn » # h NU L » r » x Vo #4
… tuellemen l'Empire. Lis contièrent {nalité et donné même des preuves! pas et le maître pilote AR ! ï pra ve pos s ar x”
xs mur; $ do : : est élevé dr
# Ja direction de leurs écoles à des! frappantes de leur patriotisme | bientô pour s'entretenir avec Blé- |" Un sp na
æ péi dugogu es grecs: ils imwmpértè. | dans circonstances Îles plus! “ot et les membres de PAgre- | es RP pu sest complète:
"rent d'Athènes l'art de la peiture-| Hiffciles, | Club. Pas 7 CORPADRANE | AIRE
Me ww et de la sculpture, La langux La conservation de la lang 1e sur le dos sa conrse émouvante:
9 a Là À h e mi . , e . . ; à Le Te - 0 2 AT '
& grecque devint bientôt linstruc | francaise sera aussi l'obstacle 1: Au milieu de la foule, Le é lé . pu que du eis on
è u np à à 4 . : se > »
m ment de la conversation dans les! lus efficace à ln pénétration de Maintenant l'immense aérodro |!! *€, détache acmirablement, 11
De relations sociales entr@les intel. |'d£e: et des coutumes américaines! me est en rumeur tout autour de!" pris sans secousse sa position
la piste, où l'on se montre le mi- | première,
nistre de France. Le publie, dont! Bravo. Pégoud! 14 foule, élec-
les rangs s'épaississent de minute | trisée, embullée. acclume avec fré-
en minute, se bouscule pour mieux | nésie: mais l'aviateur ne se presse
voir; combien y a-t-il à de cu | pas de redescendre: il remonte en-
veux? Vingt mille? trente mille?|sore et, trois ou quatre fois, voya-
|“inquante mille € Il serait vain de! geant tantôt sur une aile, tantôt
vouloir les dénombrer, Blériot se! sur l'autre, il boucle la boucle avec
promène de long en large sur Ja fun brio étourdissant. Et puis s'est
plaine, vêtu d'un ample” ardes-|lx descente en spirale, en chemi-
sus: il est indifférent par Fébiée- née, et l'atterrissage lent au mi-
de à cette exubération popuiaire lieu de la plaine où les priviligiés
pas plus d'inquiétude chez Ini que!se précipitent pour féliciter © Pé
chez son élève, “Il n'y a rien à) goud, lui serrer la main, lui dirs
craindre, dit-il: Pégoud va nous | eur émoi et leur stapeur admira-
prouver que les remous ne sont ble. s
pe rec loutables et qu'il n'y a pas! Mais une auto est Ià au milieu
ieu de s ‘inquiéter des surprises de pavoisée aux couleurs di: la Fran
| quant leur objectif sur l'aviateur,
Pair : les épreuves de vitesse . Pégoud y prend place à l'ar
tandis que l'inévitable opérateu
sentent bien d'autres dangers." rière, et la voiture démarre pour
place sur son siège, et le voie} ner le triomphateur; promenade
à
de cinématographe tourne QE
pour quelques minutes en repré-
sentation: les photographes vont
et viennent autour de Jui, bra-
rapidement interrompue, car la
foule, i “Jospatiente, a rompu les ba.
rages; elle se précipite vers l'auto
et, au moment où l'aviateur saut»
terre, elle s'empare de Jui et Je
vromène sur ses épaules, au milieu
Pégoud, maintenant, a repri-| aller, le long des tribunes, prome-
pot sa peines Drreniee et joyeuses ovatious,
Len nn vol impressionnant, dans un |
sait, plongeait, tanguait le façon
Pégoud renouvelle ses ex+ | tard. à la veille dle la Méaatic.|
ploits française, un observaisnr attenti |
| derit que l'agricultnre anglaise est |
Pégoud 1 renouvelé se orpé | “longe, VISOUTEUSE, SANS Ce En |
riences laprèsoidi en présener: ! js agrée”, les travaillenrs sont hien
l'une affinence benteoup plos cort- | in i8, les sahures élevés Les |
sidérable encore que le matin. 24} fermiers vivent dans l'opulence. |
és de tronpe gardaient :lafl'onr ln resherche dans le costume, |
plaine, Précaution snpenfine. caë! dir en autre écrivain, on ne dis
tonte la campagne était envahie. !iingue pas la-fille d'un fermier
1!
!
}
Les s curieux faisant dne véritable! tile d'un due, |
RE j:
sh à travers champs, frañshi s. ra re sata
Tr np, En 1845, le meilieur statisticien
ut clôtures et harriwales et « le l'£ ; + .
PA ; ide l'époque, Porter, fait de l'An
“pitèrent dans dé énreintes! :. : ‘
; : te d'andta | Liéterre agricole un tableau égnle
IÉSETUEES, ARE la chaussée d'andte nent flatteur, La conditic : le
À pa A rent { w, # “ont , »
nai de: Stat un cortège intertaii- ihivatogrs à : à 4 A
. L 1VALCUT è ts esse oe si
able de voitures, lame, de bhicy- F ie s. : ni Lier) he
Om Méorer, le revenn de li terre n
clottes, d'équips variss, Tous! jupe Rad"
pen } . {doublé depuis cinquante ans, In
es chemins menant au champ dal. letion du blé a tell
{ ro ion du blé actelleneut aug
viation lurent en quelque sorie] . : 2,.: rte |
A : [menté qu'en dépit de l'accroisse. |
“mbouteillée, et fon dut retardert :
Masue & À 25 0 en nent rapide de Ki population k
jusque 5 n. 1e à | art lu pilote 1 ' ] Gr
x Ma | : e la Grande-Bretagne four-
ù mille sperta M al pe it encore les sept huitièmes du
ra Ses à nr mr AN a pltle! pain consommé par les habitants.
lorsque Pégoud <éleva enfin! &t la population continue à ang. |
à un À : nenter dans les campagne
formidable brouhaha d'acclama-f nous voici ldin maintenant |
tions, Et ce fut, comme le matin. le cet ve d'or i ri téne k he: du
%e. s s Ras {ae # cadence de
el prodigieux spectacle nn Hé le! Pari ‘ulture en Angleterre est ni
! À » Se y ‘ Eà + Fe
el tourmenté, L'appareil obéi | fait accompli, Aucun parti politi-
sant aux caprices de Pégond, glis-| . ne songe À Le nées. De ISTS à
Li > À » ‘ a
108, la superficie dés: o pro
EME du blé diminne
de « moitié,
1.200.000 ds {ares
|
|
1
effrafante, prens ut rusques
ir ages, se balanennt les ailes in- | pa: ant de
Ed avec une telle maitri 6 quel 750,000, tandis que cette supertie ie
on finissait par n'éprouver en! ausmente de moitié en Russie et
quelque sorte plus d'émoi à le voir |
Éads r dns ÿ positions les plus!
surprenantes, les plus contraires
aux lois de l'équilibre.
res
stationnaire en France et en
A Dessens,
En même temps ia population
quitte les campagnes, (ontraire-
ment à ce qui s2 passe (lans tous]
les pays di continent, le nombré|
petits propriétaires, diminue
Lorsqu'après un quart d'heure |
|
|
F nsiblemeut, La grande masse de
le vol on vit Pégoud s'élever x
1,000 mètres, se retourner, tomber
de 300 mètres en une plongée ver
ticale pour effectuer date un ré-
tablissement, l'enthousiasme du
publie ne connut plus de bornes,
Mais Pégond ne lui laissa pas le!
temps de souffler: il remonta en-
‘ore et exécuta dans les airs une
série de boucles audacieuses, sur-
passant en hardiesse toutes les
‘
| dus
Ja popul: ition ç ampagnarde est re-
présentée pur les ouvriers agrico-
les et est préc are,
es ouvriers de
» pour cent de plus
il v an encre des
alaire de l'ouvrier
leur situation
Daus un pays où 1
ville gagnent 25
qu'en France,
Lohs inces où le =
agricole passe pe
prouesses de la matinée. Dix fois, gricole ne dépasse pas 30 sous
vinat fois consécutivement on .le| par cer D ge: pe A 588 Le Hu
, + Ne . PHREET , a=s0 s S
vit se livrer à ce jeu périlieux, dé! fret M re entres urbaïs, En
crivint dés bio et: Une 1901, 77 p.%. de Ja population en,
spirales
pour venir enfin se poser légère.
ment sur le sable, au milieu des
transports des spectateurs en dé-
lire,
tière résidait dans les disbriets
urbains! De plus en plus, toute le
vie dit pays se concentre dans les
villes, dont Londres, avec ses six
“A .., à millions d'habitants, est la plus
Et quelle clameur ! quelle fréné: | j Û
J ñ |morstrneuse,
» dans les acclamations qui re
tentirent autour des barrières lors-
que Pégoud, emporté par son au-
to, fit triomphalement le tour de
la plaine! Quel spectacle aussi
lorsque la foule, se ruant tout à
Mg dans Ja piste malgré la poli-
. la troupe et la genlarmerie, se
Ps écipita dans tous les sens pour
acclamer de près le triomphateur
de cette journée! Et quel retour
dans linvraisemblable cohue, où
les fiacres et les autos s'échelon-
naient jusqu ‘aux portes de l'Ex-
position !.
Di fois, vingt fois la boucle.
Pégoud partira demain pour
Rotterdam : M viendra ensuite fai
re quelques exhibitions à l'aéro-
drome de Berchem samedi et di-
manche prochains. Les Bruxellois
auront ainsi l'occasion de l'accla-
mer à leur tour.
UNE REVOLUTION
EN ANGLETERRE :
Fous les Anglais sont unanimes
à constater le malet les périls qui
en résultent. L'Angleterre ‘lépend
{de l'étranger pour tous ses ali.
ments essentiels, Un ennemi qu
parviendrait à intércepter ses
communications maritimes l'affa:
merait en quelques semaines, Pour
la santé morale et physique de la
nation, cet abandon des campagnes
est un danger plus redoutable en-
core.
Mais les Anglais cessent d'être
l'accord quand il s'agit d'établir
les causes et les remèdes de cette
effroyable décadence, M. Lloyd
Gicorge et ses amis vou sliront
que tonte Ja faute est aux grands
propéétaires, aux landlords, Des
économistes vons diront que la cau-
<e de cette transformation est tout
autre, Elle est dans Je libre
échange, La crise agricole à com-
Linencé du jour où les Etats-Unis
(l'Australie, l'Argentine, le Can:
| da, < lécuplant leur production a-
igrivole ont inondé les marché al-
lai. L'agriculteur anglais n'a
pes pu supporter Ja concurrence,
t l'étranger, disent les protec-
EE ieies qui a ruiné l'agricul-
ture,
La question est, comme on voit,
très ri re M. Lloyd George
prétend la résoudre en instituant
Ce n'est vien moins qu'une
transformation complète du régi-
we de ln propriété rurale que le
gouvernement anglais se propose end]
d'a omplir, d'après un récent{un “ministère de la terre” investi
discours de M. Lloyd George, le! dune sorte de pouvoir dictatorial,
chancelier de J'Eshiquier. TL vu) veillant au taux des loyers et des
sans dire que cette transforma-|fermages, intervenant dans les
tion, si jamais elle aboutit, ne se- conflits entre fermiers et proprié-
ra pas l'oenvre d'un jour, F1 n'y|taires, ayant en un mot “la houte
a pas de questions plus complexes! main sur le sol, de façon que ni k
ei plus délicates que celles -dont|s0l national, ni les cultivateurs ne
l'Angleterre moderne aborde au- {restent soumis au bon plaisir des
jourd'hui la solution, Le sa delgrands propriétaires, ? Lé minis
“révolution n'est pas exagéré|tère de la terre achèteraié à ur,
quand il s'agit de toucher à ls base |prix rais sonnable” les terres négli-
inéme de Ja Sn fonciè re | gées par leurs propriétaires, et le:
d'un pays, et c'est W'ailleurs lalmettrait en valeur, I] ferait aussi
Révolution qui « M n Fran-!construire des habitations rura-
ce, on sait au prix de quelles! les, pour fixer les ouvriers agri-
épreuves, cette mobilisation de la!coles à la campagne par la pers
grande propr iété rurale qui est lei pestive d'un salaire génumérateur,
but visé par les projets dont M. {d'un logement confortable et de la
Lloyd George à donné nn Pr {propriété individuelle à acquérir,
Certes, le régime actuel de la! Tout cela n'est encore donne
grande propriété en Angleterre a | qu'à à titre d’ indications, et les con
quelque chose d'arc haïque et de! servateurs n'ont peut- -être pas tort
surauné. En fait, cette grande! de penser que certaines de ces in.
propriété se transmet sans se sub |dications ne sont que des promes-
diviser, grâve à certaines coutu-lses électorales,
mes, étremgement embrouillées, re
qui ne permettent d'en isposef|
librement, Non seulement la petite! Choisissez-les plutôt petits et,
propriété rurale ne parvient pas après les avoir épluchés, mettez- les
k se constituer, mais elle est an !dans une cassærole où vous aurez
contraire en voie de disparition fait fondre du beurre, Saupou
totale, rez-les de poivre, de sel et d'une
Pendant des siècles, le paysan cuillerée de sucre blanc, Bien con-
anglais fut le plus heureux du verts, faites-les cuire à feu doux,
monde. Alors que dans presque de pelle couleur.
tonte l'Europe le cultivateur du! “.,
sol était attaché à la glèbe et pri-| Vous les disposerez autour de-
vé de toute espèce de droits, | sôtelettes et servirez à l'instant et
ysan anglais était un homme li-ltrès chaud.
re, À la fin du XVILe siècle on
4 or Re 2 ar Côtelettes de mouton aux oi-
compagnards, dont 160,000 petits|922%% glacés.—Parez les cütelet-
pro riétaires vivant du ‘produit tes et dégarnissez à moitié leur
de leurs domaines. Ua siècle plus pascie.
+ 4
Département
des patrons
DE UE: NE LE
La blouse de ce costume est du
dernier style, Le collet large dans
le dos se continue le long de In
bordure du corsage, Les manches
unies y sont ‘ajustées le
moindre froncement, La jupe est
en quatre morceaux et s'ouvre sur
le devant,
sans
Le patron No, 6,373 est pour
mesures de buste de 34 à 12 pou-
ces, La grandeur moyenne deman-
de 414 d'un Gissn de 4 pouces de
largeur et 54 de verge d'un tissu
de IS pouces pour la blouse,
Ce patron peut étre obtenu en
envoyant dix sous an bureau de
ce journal,
POUR FIPL
YFTES
Costume simple, convenant très
bien aux enfants fréquentant l'6-
vole, La blouse unie s'ouvre sur le
devant, L£ vétement fronce un peu
à la ceinture, Il est orné d'un très
joli petit collet enjolivé, Ce cos-
tume se complète par des manches
évêque,
Le patron No, 6,380 est pour
enfants de 6, 8, 10 et 12 ans. Lu
grandeur moyenne demande 5
verges d'un matériel de #6 pouces
et 12 verge d'un tissu de 27 pou-
ces pour insertion.
Ce patron peut être obtenh en
envoyant dix sous au bureau de Le
journal, L
Département des patrons,
LA LIBERTE,
B. P. 3151.
NOTRE COUPON.
Département des patrons, La Liberté,
B. P. 3151—
Veulllez trouver cfiuelus ..,.,.:.....
sous en retour desquels vous m'enver-
rez:
No,...,......, Grandeur,,,,.,,,.,
SOM mors cmocesomntenepensnnsonsese
Rue No TC de dde les
à PPT PPT TE D EURE BUT PERS
Province deadratteretengenente es e
Note—Un d ‘lai d'au moins dix jours
on an PE TOR
bee ur de,
Man.
& décenbre 1915
DANS LE MONDE
LA PRISE DE VICTORIA Jo
pes
Pa UN PRINCE AVIATEUR
y Le cousin du roi d'Espagne
jette des bombes sur le
camp marocain.
Mauro É
Le succès des rebelles a été !+:1 " À Ta
L'ATMOSPHERE VA jeune fils est en ce moment cath
LA LIBFRTE
NOUS ECLAIRER eu le, primance cien. IR Etrennes pour Noël
been Porno, nue D EUR EE mnt Antigen et le Jour de l'An
couvre un nouveau moyen “ré L / à cont .
de produire l'électricité.
+ + L * dd + ? + NA
suivi d'horribles scènes de. \i \ ! vous LU Qet . LJVRES DE PRIERES
Y . y ) e. € «le ge. : darts L L ï à 1 à « *
carnage. bp Lis 2i FA \- . [ " x \! a » sb GUIDE DU JEUNE HOMME.-
k , I bn | Igrke io N iv vit L'abrès No. 512, reliure cui noir, ornements dorée, tranche :
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pe #1 L ‘ ; PT t ‘ (DE SORCIERS NEGRES Où! ln rat se surpl no 121, veau rouge première qualité, ornements do
g î I 1 ] |
Navarrete et © i LE le déiliies à . . MEUTRIERS Elle était d'autant plus grande rés, tranche rouge sous or avec pothette en enir
it ct [4 æ t nette» ré-cfih- D 1 ; nive dit..le JUL. ss vue nav e Qe x «44 S4.0U
A à lo ace one I TIREURS FRANCAIS Dis nè Lai jaime caiboiquet. "1 Paroisien No 300 our noué Vache 10 2m
#1 à l'ouest, sur plus nié UNE LACHETE Dis nègres _cubains sontlserai jnmais catho jun | pres de turc rte og 2 à der … AL à celle. vd atatel Hétu
ET AMERICAINS | led d’ US ui iver_ pochette | 1.50
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luré mioins de 8 MES 70 Saverne, La ét Lex l'avoir tué une jeu- PRIE vev, abbé Gasquet, O1! No, 1,710, longueur 18}, pouces, chaine argentée, croix
}: Ur ” Pa ; L Éi { lFoerstner s'es , jour d'h L e file de ya blanche, à Ahtem [5 B. er 1 x ray aux histori | et médailles oxydées # ap x $,1.25
fadéra va “) ns de l'estadi ne, q 2 ! Ta . provinte.de Pinsx del Rio. “rt LP je an à No, 4,258, longueur 14 pouces, chaine et croix en arewent
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\ et k taie it | oveus jour & de peu } # A2 oulaient #voir lé sang de la jeu el aa sé 4 + recemment: | No. 3,202, longueur 17 pouces, méme que précédent mais
un fr th ] 14 à * “Los 61 es anglicnns © VO Sr
00, Les féd x ont|la Kiviera mar de Ee A ile pour loffrir en sacrifice e1| lu toute - te it pe let ra Me graius ovales si « AN sets « PR
, hp ‘ } ) la | récept e liic he be s 1 eu: êles leurs p sp rations mit | nb #20 . à il ] Là ? No, 560, longueur 161 > pouces, chaine et croix en argent
nnba ' mnè- {à bord eau 1 ui “Wvo x Ava A L s, ont été és pat des gens]! PMP es , l'Eghe ce EE ilide, chaine très fofte, grains ovales à S2,70
La vH { CLR LEE l U i i l; V » , : ; “ lu pays, aussitôt après le crime, né: sx nn Er rh che | No. 557, longueur 15 pouces, chaine et croix eu argent
furent ) ipita Chapin é d asses 1 | Pour pouvoir mieux accomplir {Me ESC ut ee le, et, tous es solide, chaine très fofte, grains ronls 6 &3.00
; Ai \Hu La erst sony fotfait-et féire croire: que 1418 voit venir à elle un non br No. 4332, longueut 16 pouces, chaine et croix dorées
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tru ” lus w N Detu P in | Jente . les #6 rs. au moment!” * j : nt + que ” : “4 ques | “| No, 5.154, longueur IS pouces, chaine et croix dorées
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1e \ rh L'escad ‘ ma L£TOUpe Oo ers i $ quille 4 \ de la poudre, Le corps : p ge ee Li CPS No, 4,193, longueur 1714 pouces, chaine et croix dor&
: | n à l 7 Vive deinniit ivValent ji o! i eur des A | t:brûlé par le xplosio He Tia cii {sant Sr ce ef es il jee pen grains ovules . : LS ESS he eh to ga + AA 83.00
celles d féi| b l jé offici { l , td eau 1 , linient ni her vidence de 1 ne - dur pe ra ge No, 1,405, longueur IT pouces, méme, grains ovales #1.00
cxa sh | » Re am j Ï it { ia à hal-| " K | À LE >, (XP PRIS. Une force négli | Tous les chupelets ci-desstis peuvent étre Hivi olorés
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64 | K ER TRS | nu vl'k ti \ la mx l ou: | | Ainsi, cest ait moment où | vie: rubis, améthiste, sapphire, émerauld où ervstal,
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EL RE ES 1 na ot U 1 1 , : L l
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sut nas à t, « : ' per $ tôt et r, après | {févondée par la perséention, En! No. 4389, longueur 15 pouces, nacre, graini rond \
enforcer Ta ga [ lai | P jasaeurs 1 ) LUsSsC ialheu | DE LUMIERE \ugleterre, comme en Fran 4 le ne et croix dorée #2,00
Ps : y HiÉ le le te batu laine ve] CSVEUp I rs she 1" il QC reviennent vers Ja verile, | No, 159$, longueur 19 pouces, nacre, grains ovak ‘ha
plus « 1 { le tir à Jongue d e, et À ei eva € el} [M us, chez nous, la secte maconni ne et croix sohdement dorées St
Les fédéraux pr re OUVeEAU D » Shoot r ( id Re “Pa | La moisson dé âmes | 1 RARE n Die par un pou | No, 1594, longueur 19 pouces, HAcres dam ronde, chui
{ pourront 0 Nice da r eff \ une ' 1 L e-} CrAemeNnt sais u, sapprélte à| ne et croix solidement dorés $3,00)
esse) LA { ibh qu ‘infivme | L ner la foi dans l'âme de s pe To 30 ongueurs LE es, (! Loir its pv
p'ils o pu | Le ot sé 10 " le 00 mi re | l' & ‘+ [l Fe TRE LEE HEEPUNSe ds ( EP Fi QU 1e . pe | No. 53.020. L MUC Li pouc .4 oo noir, pelits grain
iso! L L'infériorité des { uuéri- | PRE TE nef. 0 PADPA pie entholique. seul centre del es MS. LT no faut pas Ltieset ovales, chaines et croix argent solide $ 1.50
lu ” TT F Ho. de leur Luté | ) het uù tote ave e tra | ke Et GE 10 " 3 # : Le commettre cette hi pute: il! No. 53.022, longue 1!) pouces, Coco notr, grains ovale
4 " | nt +R î re 101 ei 1 Il uest| > .. |
bude gu mi | lu! pratique fauninis lu PTE ut dl og es marheu de suhut nus défendre âme de LOUE de grandeur moveune, chaine et croix argen solide 1.10
ui] 1l Na o! préten {| raderie avait rég entix les | CUS to ‘ mu U Uk : Los ânes di borihe: Volonté vorit EL | No. L191, longueur 20 pouces, Coco noir, grains ovale
que ce général s'est atturdé pen | matelots des deux pa Lin ; D Er ol Ab 4 elle, On nous signale la onver: | Re ce grandeur moyeune, ehaine et eroix dorées #3,00
dant plusieurs jours à 30 milles! On vante partout la conduite et de PR noie un: du lieutensnt:colenel Wäl | | Ecrins à chapelets en cuir, 20 cents et plus, selon lo quulité,
ke la ville, au lieu de se porter à | la-bonñe tenue des marins améri- | n'est pas déplac ra ves | D EU L £ FLEAU DE LA L: Avec chaque chapelet de #2.00 et plus, un joli éerin est
il secours lenins. let liscipline et la polites. |" eg dde 5 : [re des Etats-Unis IL s'est conver: | nm (our gratuitement,
n dit que le Kaiser as dt ps du ) éd dar Yet eo" : , A
\près la prise de Victoria, le-[se qu'ils ont mont: è à tous ceu tout cout e- » lu he pésdars avec sn fegune et ses quatre en-| ÿ IMAGES pour Noël et le jour de Fan, en cefluloid, artis
constitutionnels ne firent grâce \| qu les ont approché | tré Ne gs ff A À 1 à fants, Le Jicutenunt-colo v- | tiquement peintes à la nain, »#, 10 et 15 cents chique, selon le
’ | ré par t iers él 4 $ |
personnes ce fut un véritable ca D 0 4 DD + | : Le if l'a PTS son est le petit nenvei tev. format,
a signifié d'avoir de meilleures re- |"! DES VS NU 2 so s D TRUITE A é
e; les Liens du sang et de pa UNE CHASSE AU TIGRE Htione So D RES [Alexandre Campbel, fondateur de : ; CARTES POSTALE ILLUSPREES avec sujets. de
‘ne suffirent même pas à m | la e protestante des *Disciples Le phénomène de la dépopula-| Noël 6ù religieux, artistiquenent décorées, 5 cents chaque ou
réter la cruelle vengeance des pa pa EM a 2% MN du Christ” or Camnbellistes. {tion Le cunpagnes est le mal] H5 cents la douzaine.
ins de’C'artnnza |Ce qui se passe aux environs | ESFAGNOLS ET Res mg ur See do d'où Idont tous les pays civilisés com |
l'ous ceux avant un emploi of de Chartres. MAROCAINS e de Saint-Bénoit, était, jadis|Mencent à “alarmer sérien einent, | MEDAILLES SCAPULAIRES
hoiel furent inemerés | levevinan prots uit, C'onver. |S 262 nous, il est effrayant. No. 410 S, diamètre 7-16 pouces, argent solide OXA lé,
Pa ui eux se trouvait ousin Paris Ur isse alt tigre, Trente cinq soldats sont tués | i: it | ' L En Allemaswne, il ne donne pas ronde RCE ni SE NU CT TÉL RE Se TN) RAP 1
l'Enrique Caballero des lieu-| des automobiles à la place ét blesefs das un envers {supérienr l u confie [moins suiet à de graves réflexions. | No. HI N, dinmètre 9-16 pouce, ronde, argent solide
enants de Carranza : -}d'éléphants, a eu lie t apri dé _ ngag au rectorat L de Saint-! En 1880, le nombre des Lente! opoe- TB ATARI D PS MU ce SN PEN SEPT PU LIN ES HS .$0,65
lan ort pour avoir aidé les! midi aux « rons de Chartr ment, \utoine, du \ le de Du! ‘ubivant les champs où vivant à No, H2 8, diumètre 11-16 pouce, ron le, urgent solide
‘ pes féd es à défend \ Uu tigre q figurait dans ‘ PREND de Loi \ f usteur pro-|la compagne était de 19 millions.| AU. Le dei à Be OS CRT ANT, GTS NU RRES #0,79
! \ ï e cinématogran ( ” 1, 7 F rès que "cle pe | ( Ll'est tombé, en 1907, à 17 mil-| No. H3S. dianètre 34 pou e, ronde, argent solide oxvdé,#1,00
La ep unit u ia du tir a ! À 1 ‘1 | Le I M. Gateley il ! ons, Pendant Fa même période, le! No. 516$, rectangul aire, argent solide oxydé ..,.,,.,., 1.00
tuix ins la } \ brisé | 1 €sSpagi | ec le | Suint-s mnbre des habitants des villes a | No, #10 G. diamètre 1-16 pouse, ronde en or solide .#1.00
* \ grâce d mi. { », * retenait captif et s'est enfu tunit e rec + inlssance pri | R le Birimineham., n | passé de 26 à #4 millions: Le nom No, 411 GG, 9-16 pére. ronde, en or solide à A 30)
( } Cab EL ) l'out lapri li cu zen FA Pat a AE à nn ab Î a re des grandes villes de plus del No, 412 G, diamètre 11-16 pouce, ronde, en or solide .#1.50
Î et. S pare . * re "LP 12e da éælise (À Orato 00 à 190,000 habitants était def No, H35 G, diamètre 3-4 pouce, ronde, en 6r solide #20
f \ i l iviro iutomobile, dur { rriD [AL € [a | La à / en ISTIS 11 était de 48 en 1910.) No. 516 G, rectangulaire, en or solide ,,:....,,.. NPC ER 1
uèt | l< àr de : V4 \ hp le ! P : Et voi onver ‘ représentant un total a pproxima | l'ous les objets offéits conime argent ou or solide sont
2 Pammal Minis to eurs eforts Le Six A = à dE y ique, € ine dame üf de 14 millions d'habitants, poinçonnés pur l'état français.
AGE rt ét \ { leroute ] on { in Cel! &to tue Ana dite tite: PANNE RCE. La
1 ; Es 4 Ainsi que nous l': : ;
ENCORE LES End tation ot Lu etudes | Cult É17 & où Un grand nb UE PL Re 1 AIR QUE AMER CMP SRE Es STATUETTES EN METAL
à ut bar " ” At 10 DICSSs 1 # F | | ' ; s ! 12 à 4 1:2 8 . ! à R
SUFFRAGETTES ho uni 1 L Rrquidqu { ( “ fois, duns $ | 1 1 de la dépopulation est lié à! Argonté.:-0 potdés les haut": 05. 4e an $1,15
C nt dut fol Du O1 les Espagnols V «ll ) I [ J* | ] LD l è
I , d’ il . + dis tres s 5.6 9 VHUIERIORI Ep * ss ue. à: t ff \ 1 ALE g (1 1 Lens) oute ei ( l'exode de Ja Cumpaghe Doré, 6 pouces datant, Pie CR REUTERS 51.40
. une d'elles interrompt une! blu: complet. Bree dubeve ALES Elson récit, C'éta Hmanche: vers In ville, La ‘anpagne est tue Sujets: Sucré Coeur de Jésus, Sacré Coeur de Marie.
cier, et ) les É aie ul : lt ‘ 4 : pal dev L
réunion publique. EAN did alls IPER sas D'auls 1 4 Je me m LeNOUx SANS 1 murice: la ville est une tueuse Jeanne d'Arc, Fini aculée Conception, Saint Antoine,
a és « s ) es ] ASE À PMR AUS . : « : ‘ :
— M. ADALPE ACCUSE AR TRE Eure sk FRA qu temps, et, duilleurs,|l'epfants. Saint Joseph, Saint François d'Assise, l'Assomption,
Lond Les suffrageites| ° Er N ARE jar ra \ lier COUP, mas tout Al L'Allemagne constate que les ln S ainte Vierge et l'Enfant Jésus
“ À ns F H unols et murocains ont 6t6 tués o PRAIRIES CU 0: sit NE LÉ TD ; | f CR w ï D 0 it pc CE
reviennent à leurs vieilk : | LES ET ATS UNIS | fait tranq mn! L pr DER ] | : UX 1 ue de Hambourg et de IMAGES BNCADREES ET EN FEUILLES. artisti
AIT le suerre Caxtor | , r us et mmussis sur le DR QTTEL er! rhisse s “tre : x é à
\ 4 s + A À LE si É < À Quiz oltdat { "2whol É . ; x Be x run ouFni nt troi : qu tre ques, tous les uiets et formats, prix raisonnables,
l'une d'elles, uprès s'être utta Les armes envoyées par ce ‘ mnc en fac maître-autel, sans! fois. moins de recrues valides ef { |
{ e \u ei pays entretiennent la ré» vent rent bi r ot bpelist} icon p pl c. lé porées qu les Cwnpugiits de CRUCIFIX. CROIX, @ Hi NDE L IE A BOITE VIA'FTE-
URSS res: “La volution. LONG cr DT TIER ais paisibl “onsokée, gone la Prusse orientale. Et In Post TIQUES, STATUBS EN PLATRE, (Tous les su
7 mn ( L Mir fa rl se l'E ottn ‘ré. di AU
bris : eur L'RENS CHUTE MORTELLE lait se re] | tte “ec ets et grandeurs) BENITIERS, ETC. ETC,
le Josep \ibert 'euse. M. P. Silander :(Espar \ D’ AVIA "E JR r sur le s \ mère, “La dépopulation des “ain pa à x
fut obligé du e som-dis:| Va Ga ia ARE ATEL “Je regard nonchalamimentt,, l'énrt (ide au te Aie) Tous nos prix comprennent l’affranchissemet.
I pe. ex-min ea Nes L | up grunidliss: | s
ARE. 4 huissiers! tre de l'intérieur au Mexique, est | Le pilote du premier lord de 4 von idées: Jet ranger igglomération des! Magasin ouvert les samedis jusqu'a 9 hrs. du siro
( 1 e faire sortir, mn} é sur le n e “Esp 1: 1e Ya QDHNeR "AU, SUR SAT | masses d'hommes toujours plu
ifraget | e purent fa ‘ M. Aldupe se rend à Pa l'amirauté se tue. é et MINS, PAUVIeS,! nombreuses dans les grandes vil WINNIPEG CHURCH GOODS Cie. Ltée.
il le Lil RENTE "# Dies ? ] UUTLCO { nt represente lag si A, F PA FN HE id 1 À
Ce d TO OVIONU OS EL Enstchuich (Angleterre). 5 ein Hinéiné din FRRROPRRS à VOUS. DR CCION 226 Rue Hargrave, Winnipeg, Man.
te tracter un emprumt en Frau Le capitaine Wildiman\1 « allemands les plus graves craintes. ch a a: #6 le l'Evli - à
je 1 | Liati «using Tor Ds SOI sos dc s . . QU » » 0 : > tin
SUCCES DES emprunt qu es en vole GANONUP, Lion 4 mbre de la société rovale! or né eé e8 ( | s ET uE 7 LL nous faut plus d pre ve (Tout près de Eaton et de l'Église Sainte-Marie.)
à et na pour but de subver \ l'et : iê, a" y ‘je ex 1 URSS ‘les campagnes; c'est là une des
MEXICAINS FEDERAUX tuetien de l'armée fédérale et. de |! "M0: #98 dr dou Yves HT MOUTON qui l'agite devant! onditions essentielles pour rain
ke # vais ouf à juamd son biplau en se ren ini \uu, toujou prét à écouter, tenir ‘li force. militaire de holn (2222222222222222222ELLELL 222222222222 2LLZ LL TT
LEE er «es ressolirets AU © ve » Fee Mr | ps: : en î ce Q [0 , -
Des rebelles sont chassés cuir Huerta M: Sa CARTES : F5 Vo que noi ne pe empire, l'avenir de notre peuple. |?
7 viré Royal Aero Club. Sathe han lire Mettes in.|°upire, FAveRr de hn peuple, Le
d'Altata M a lape affirme que la situa Le capitai L hit s déj _ à Per lui mon esprit, Dan ln sécurité de notre prospérité ?
. © ] De tashington était ! » autre érlise rruit-07 TL hs +
# uon miqne du Mexique n'est l'un dés | | ilroit lot l 1. Éor 4 à L Les ré va matérielle. Ë
x Fe Sri pr M hs “ie à Renan us auroits pilotes dé elle procession Si la présence “Se " fa : :
ne 0, à ie cunonnières | PA és ( CR: . j _ “x, 1 | FU linarine, Hier seulement aval léelle dispur l'ici, cette Ces Le ILés au delà v Don sel + & C \
ico” et “Güerrero nr. gouvernement sont fuibles, dit-il 4 : Rs nd (e | sé au » rités € ca. Mais ce
| 1 2 tin et API se" i bainib Ésul de NL dat et oc pour diriger le biplu ‘onparable process ton d'âmes con nv ei M rires t [ 4:
ha Aux troupes federnles, on al or ER D sur leaqu lé prenuer lord de l'a inueruit-elle lot siemps d'ufflue, 1° est pas par des 1018 que Fon re
| | + ve | . 1 sisti PERL « ’ À 4 ne de 7 réclira à 1 ts: » « Mes sou . /
boubandé de nouveau, hier, Jl Û l É fai | ‘limirauté. anglaise; M Winston! inème dans cette enesintet |médira à cet état de choses: cest |+ Entrepreneurs-Genéraux s
port d'Aliuta, distmet de Sinalon HUHUR, QU CAUR CREL 06 60- ECburebiil faisait ses préniiers es far oh: Dion sÉtiinot [O6 donnant aux populations la
) Lil d ln ï sé d î #1 s es ! iuel p $ :
et ont détruit la ville entière, nr Mexique, est encouru | is pour obtenir sa liceuce de pi- [dans la nef, les prêtres ont quitte | Yérité catholique et en faisant en-|T* ’
, rebelles " LPTTOT t és i£ ! envt "1 1! ide d'armes ! : . : CR ph 3 4 y We "er à unis les ce srlunres @
Les rebelles, qui était L rest | à pe hi € + Ce WS | lote, Ce dernier ayant revêtu an] leur confessionnal, et l'éelise 5 rs u . dans les consciences et ;
abs 1 Vite maigre le Dormar Le Adi “N ni ; costume d'aviateur prit p! ice sürlirouve vid ide | mais avec| “ns 158 OI,
meule déritie dl bare noté Li. ls: OS AC ed EN AS nn AE EGLISE, COUVENT, ECOLE, ETC.
pur on i APE EU ES, Re pou LUN CAS D' EM. | Wat TPE plit tontes choses! et alors, Je n'ai! D —— +
ut 1 a sm PEUR IONETENIDS Et POISONNEMENT \rris v à tue hauteur de HU plus conscie de rien d'autre RECETTES +
vunt {u lans l'int t Da va iètres, 1 ( ! 1 oulut Ge PET ME L FER Dee 1 Pre A +
Les .cabhonñnières se à CE ge 2 Vo voulut dl , je ne puis rien dire de plus,| F LAPS ni Attention Toute Particuliere
1 : ’ | He DLL ! LCR EI iuilrien expliquer eux: et avec la aile londre du urre dans
dirivées sur X { oû Il le) « "à 4 | 1 : Ê ° }
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» L 1 MIA « M) vw! N | . # 1! »
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" Là crue A ! ) i Fa ‘ ù à | ” L > À . L b %
; . ar ps l . Î \ } | vnité | « le! vante du Seigreur; qu'il nu soit|tes. Ayez un feu assez vif ain |?
| h Le R : N ( RATES k | p né p Lis Avait pris en! fait selon votre parole," Préaine né languissent pas, Faites! + Bureaux:
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i irigeront | ati que qu rs OX ‘Jun pres le Cor lou pres |! GLAIL Ve ntlért + ne L su! | ag d: sine. ! cuali r : . si 1 ‘U per LT As. e A pu 50 AVE. PROVENCHER sed, A SAINT-BONIFACE
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‘ + 4 SL ! he lu pa voir mangé de inde conta-}le sv 14 * * montré! fut également converti par le|nées, assaisonnez-lés de poivre et i , Telephone Main 3169
ti ou de L où PA 2r ANA PRE. Finn Te | très affecté de la ds li capitai-! Saint Sacrement. Elle écrivais àlde sel: léur cuisson doit être de
“4 On QNEre es 1 ils dus l'OIZ0 son , wra! TU 1 ! \ les men " à
an u À Fr si] ‘ sn [E) Vi i | reiz : Li Ma it l ps 1) H Lus! ingto jué Les memes du de 5 ainies: minutes À peine, Bien doites, rah -
rébelles, est Sur le point d'être re- | nom nt da in état déses. |! Roval Aero Clus grefteront siy “Je suis sûre que vous vous r6-[yezdés sur in plat éhaulté et ver”
prise par une colonpe de fédéraux | péré lcèrement {
} s verement, jouirez d'apprendre que 104 plus sez leur jus par- -dessus, LRAAAAAAALLLLLAL2L2 LS 22122 222272227172 22222,1227222277
4 .
en tte detre mm cn had ©
——
“C'est ainsi que la langue pen-
Winnipeg, Min. 9 démbre 1913
ee eee + nee ne
ar ones MU de MR et EME D NE CE RS es
jintroduit la main, tenant le tube, | les jeux, actionnaires et. em-|
dans la-vulve, sur ie plancher du |plorés de banquestét “tutti quan-
vagin, à quatre pouces de la vul-|ti” qui voyez dans les Caisses | \ e.
jet expose à des entamures sou-|ve, on sent un orifice. c'est le méat | d'iréductibles ennemis—les ban |
tem | vent profondes qui gênent la pré-| urinaire, On ponses 4 tube dans/ques ordinaires done, ont mani-|| ° e cuez 1e.
GRAIN Sipat 1107 | ention des aliments, la mastica-|cet orifice. et on l' enfonce d'en- | festé une grande sympathie pouril «4
Pere LP, ray: Won, l'insalivation et mème la dé-}1 t pütices L'uri sSecoule iles Ca le Crédit. ! .
He Ferm, No. 2 19-20 ÿ rie a 27 ont de: Éd oicegoge Ag cons mx “ot | A1 BLOGSUMERSET
No, 1 Norther 844, : No, 1 “; jbtentôt d'elle-même | Une foule de gérants de ces! DE 2 ) À
0, } Nurtheru P y No 26 à : n " e n : (prèE aton L
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Do, » Northétn 79 FROMAGE mors Lie de-tette-façon, où si l'on avait |”personnels” co es por WINNIPECL MAN TELEPHONE MAIN 624
ré ñ y sms ru" ? 71 A CRE a FEPIS l'affaire à un müle, il faudrait qué- | "fonder et pour ‘ai ler esil “
No. 1 rejectediæeds ...:... 1715 pe si" “gran. |" 2ù Plus tôt un médecin- vété-| Coupératives de Crédit. (C£. Dis
No, 2 rejected ed: 1 FA dd 11-lrinaire: en atténdant son arrivée cours, Lori Grey, ancien Gouve
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n . On: wi! À « setre “ en A? ds £ nn ! I il "dire ne la maicure . °c}
No, 2 Iliver rouge , +. .8135 nt, t PAS 155 ea < leinture l'opiim ....2 Otiéz boss av À le ure . mn qu i Achat, vente, échange de ASSURANCES
M8 Hiver tot ET FARINES rom 2er à Ml va! Bai s t onces mn ie de pe qu aie 1 Jere Lots et Maisons Incendie, vie, grèle, mor.
M « | UUVERU, Si © Le sEœu « clez. oens se son nen gardes düuni de ill
Avoines-2 Milling Co.l sn. il méfie et oatit”L : ES : | rs lnïa! ps talitc, les besti
Ç Ce | : NN URET 8 pe Dans ces cas d tranchement ter leurs confrères irlandais! antc, les stiaux, auto-
: ) k à 0 np RAS Que VOUCN, El Tiine il faut toujours examiner! La Société Irlandaise d'Orga Terrains pour jardinage mobiles, etc.
#0, # 4 ‘ b = personnes s4 : : F5 em |
Extra No, V'Fec $5.50 sam : A ” le fourreau, atin de s'assurer - AS CU | Terrains pour indusiries _ +
4 1 ” pi ner Up pi ? “et ui et polpe | tie «| cent n = 1h port | . , . & ‘ e
. . nv a ren qui empeche la sortie t Fe Li , | » sn ? 4 v*
Ko, 1 ur “Quant aux habitudes qui con | Zi sea DURS loue ddées viüsioure ditricle of | avec voie d'evitement. ARGENT À PRETER
No, 2 Feed s nt à d ler Ja la gue où à | } ” à x ” min ss b! l'é hr une so ||
r À = e bout peus, car, comm n'£« inpo ) Letannhr un Î FE
Oro la loger en-dessous du mor <, elles j* 2 hi L ds lridét ituÉmgd lon . j l DT ARE SUITE - es
j 5 her à nous l'avons dit précédemment. k té cooperativ q |
3 % : Western Can. Flour Mills Ltd : it à l'embouchure, On 3 à, conduit urinaire peut être obstrué !Conque, 11 so été coopérative « 112 RUE AULNEAU “+ i
No. 4 101, p : Mi =. leudle en sirant. davantage, lut F 1e inatière writñtre. resserp- Crédit est bien accueillie : À
« La, wWity, à ya l REER Ar (1) ER par une Imaticre gr) utre, resserg: | ve vec « , j E : |
Feed FANS LUE L'AIDE SV OR Pre {go | LOU ti x , np. \blunt à du mastie, et s'accumulañit PF * ec1 est dû a “sunplicis SAINT-BON FACE. TELEPHONE MANN 3819
Hejerted .,.... ss. | Maitlund 134 .Weproduit de Goubaus et Bar dans une petite cavité à eôté deldu régime” et à ude efficace
! in O1 on ruer }, {l'ouverture urinaire. Ni cette obs qu'il procure HWix “ultivateurs!! mt
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#0, . .. À ES Huroi 4,20 I / EP truetion existe on enlève en pres Î l 1 abat, ; “ | re _
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Bulls Eye Fancy Pa grave inconvénient qu'une Jangue
mal ne peut manger que des ali-|
Dans les cas de caleuls il y aldit enseigne aux gens à mieux! Je m'occupe tout particulièrement de ln clientèle
des coliques plus ou moins vives,|paver leurs dettes !. + Par ha: françai et Je veille surtout à
{l'urine est sanguinoante: il est ce- {sard, seraient-ils de ceux qui |
L'INSPECTION
pendant assex difficile. même tiennent à faire banqueroute LT
{pour un homme de l'art, de faire|moins deux ou trois fois dans! et au déchargænent Qu grain qui n'est consigné
jun diagnostique gorrect à pre-{leur vie? Car ne l'oublions pas,l
J'ai fournm des cautions au Gouvernement ct
J je suis li-
cencié pour faire le commerce de Grains.
mière vue, hormis que les calculs|"crédit” et ‘“déconfiture”, voi-|
[iuiéséot être reconnus par l'ex-!là deux mots qui sont raremenc|
te ssonanse ser :0000 à 68,00! tent ....,,,.... 270 2,69! coupée: On le reconnait à « à Iploration méthodique des organes | cn brouille. L'un amène toujours] °
His VAUX, pHsunts, Es à coupée. sn bérae stade ‘jurinaires, |l'autre, | * ñ :
Prix .... La 89.00 à $6.00 FA ang ous 1.75 pour boire, le cher ul, enfonce Sul Dans les cns de congestion et, Et la Caisse combat le crédit! Je vous obtiendrai le plus haut prix
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ar SORT PR $9.00 à 85.25 FOIX. cheval estil prudent de le voi le ventre et°si l'animal est gras! veulent pas tomber en faillite, : é LE
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00 CÉRU CORI $0:00 à SE00 No 2... 148.00! :7C hez d aucuns Chevaux il suffitlà l'encolure. On appliquera des | qui, par tous les moyens, tâchent | 300 Grain Exchange Fi WINNIPEG, MAN,
PORCS, EN RQ tr 10,00 [de les empêcher d'ouvrir la bou- |compresses chaudes sur les reins: |d'entraver la marche des Caisses, *
EE SES NEA 89.00 Xo, 1 Naturel, la tonne ....10,001°he pour prévenir li sortie de lalon fera boire au patient autant! Nos hommes publics n'ont don
Roughs and heauvies, No, 2 Naturel ,:.:., ME 9.00 | langue, On y arrive au Imoxen {de tisane de graine de lin que pos- [aucune raison de s'occuper de
LORS ee CNP RAR #7.00! No. 3 Naturel .... RIRES D s,00| d'une petite courréie ajoutée à la! Sible, enfin on lui donnera dis- récriminations de ces gens-la
LT MR EU PEN . :#0.00 ! A voines pour nourrir, bois.. .$ 4olbride et que l'on serre plus ou}sous dans l'eau fraîche: quand il s'agit de légiférer sur
BEURRE DE CREMERIE., Blé pour nourrir, No. 4, joins. Chez d'autres, rien ne les] Salpètro 47733541. 1'once|la question des Coopératives,
Cremerie . 1... (1). Led 880.00 !°mpéche de laisser pendre Ja Jan | Divisé en 3 poudres, Donner! Et quels services les Caisses UN LIVRE
1e.
On prévient que la langue ne
se loge au-dessous du mors en
ksoudant à ce dernier une plaque
len forte tôle, de deux pouces n
{deux pouces et demi de longueur
et d'un pouce et demi de Jargeur.
de manière à°ee que Ja partie li-
bre soit dirigée vers la gorge.
J.-A, Couture.
2407 2——
MEDECINE:
VETERINAIRE
Tranchement d’urine
=
CHRONIQUE AGRICOLE
LA VACHE QUI
RETIENT SON LAIT
moins éloignés les uns des autres. |
\ Farmers Union, Ont. Ja pro |
duction totale de 446 vaches était |
de 10,472 livres de matière gras |
. . = |
tandis qu'à Frankfort, |
1
Comment obliger une vache
dünner son lait quand elle Je re. |*° À ,
tient au moment de la traite. ous | Malgré 19 vaches de
l'effet d'une crainte quelconque / {P'9 luetion ‘ de Sr
L'animal qui est daus cet état [tait de, Ss9 plus. Le
contracte volontairement les mus- {Ut de Saint-Hyacinthe, Que. |
cles abdominaux, et il v à inter |0US fournit une comparaison en-|
ruption des mouvements respira Las frappante; ici AD troupeat, |
toites, Pour ces raisons, la cireu, 14 14 va hes a produit 4,910 li
pius qu'uu autre!
lation du efvres de ait de - |
coinposé égulement de!
Ont.
groins, lu
matière
livres de
La suppression urinaire n'est
pas uue maladie mais un symptô
me de diverses maladies, Elle est
dans la congestion des
«aug dons lu mamelk l,
+ OUDéuU
#rait un moment suspendue: il y Pape Lu
aurut engorgement des vaisseaux! vd Rs
. £ + ésenté
‘le l'organe qui feruit obstacle a! Nous peurrions faire bien d'uu
]
des
| À reius, linflanumation reins,
lu sortie du lait par le canal na-|tres comparaisons entre les trou ide la vessie, la présence de cal
turel du travon. [peaux des divers centres, mais ce ‘uls. (pierre) soit dans les con-
Il est certain qu'il faut alors! qui importe infiniment plus pour
traiter l'animal avec douceur pourtle patron ordinaire c'est de con
le tranquiliser, de la main et de lalnuitre la production de chacune! jrs que ces caleuls bouchent l'ou-
voix, lui donner quelque friandi. {dés vaches qui composent s0n|verture de cette organe, soit dans
se, du sel, pur exemple, où un ali-[trrüpeau, Le laitier prévoyant |l'yrètre : l'obstruction de l'ouver-
ment qu'il aiine. 7.568 Fe s ture de l'urètre par une matière
Un moyen, qui donne de bons} duetion (si facile à tenir) ce QUE! yrisâtre qui s'accumule dans une
résultats, est celui qui consiste à {lui donne chaque vache et non seu- ! petite cavité près du méat urinai-
attacher le veau près de lu hôte. lement pen lan UN MOIS MAS Lou- lie: l'accumulation dans le four-
en recouvrant lu tète de celle nr l’année, Une fois en POSSSSION | reuu d'une matière brunâtre fé-
de facon qu'elle puisse le por ces donnés il est en mesure de}
|
duits urinaires (uréthères). soû
idans l'inflammation, la vessie a
|sunt, d'après es régistres de pro
k Dar à lomét jtide: les spasmes (crampes) de la
et le toucher sans le voir. Wavailler à l'amélioration de son! ie Enfin certains chevaux n'u-
l , ° : à
[rinent pas sous le harnais, ni mè-
troupeau; 1l reforme les bêtes qui
ne donnent que 458 livres de lait
par mois par garder celles qui lüi!
rupportent au moins six à |
mille livres par an,
Enfin, on propos, également,
de pincer uvec les doigts l'épine
dorsale en avant des hanches, en
pressant aussi fortement que pos-
sible, durunt une 1inute, Ou bien, aps be
où pratique, avec un bâton, de vi- CF. W,
gooves Sp «rt les reins. — 220 2 — |
L'animal fléchit alors l'épine dor-
sale, et il relâche, ainsi, ses mus- HABITUDES VICIEU-
cles abdominaux et son diaphrug- |
lue,
tière. Etant donné un cas où il y
a difficulté où impossibilité d'uri-
{ner il faut d'abord en rechercher
ka cause et la supprimer,
Nous venons de dire que cer-
itains chevaux n'urinent pas sous
Île harnais, ni à l'écurie s'ils n'ont
SES DU CHEVAL - de Btière:
| é Es ge tt ique souvent les juments n'urinent
Chevaux qui laissent pendre!pas non plus si l'avaloire n'es
leur langue, la doublent|P#° "216. C'est pourquoi, s'aper-
LATE à P cevant qu'un cheval ne peut uri-
ou l’agitent à tout instant
ner, la première chose qu'on de-
hors de la bouche. vru faire sera de le dételer com-
é ï À M. plètement, de lui donner une bon-
En août de cette année la, pro- “Cortains chevaux, pendant lelne litière qu'on secouera vivement,
duetion moyenne des MM va-ltravail, Sortent la langue et la Souvent cela suffit pour amener
ches soyinisés au contrôle dans les! jaissent pendre, soit à gauche, l'expulsion d'une abondante quan-
Centres de Contrôle laitier main- | soit à droite, plus rarement d
tenus par le ser Vic fé kéral del avant, Ce défuut constitue celuussitôt,
l'industrie litière (Provinces | qu'on est convenu d'appeler la Quand l'animal s'est retenu
Muritimes, Ontario et Québec}, 4! laugue pendante, mais il n’est pas! trop longtemps, (pour la raison
été de 622 Fivres de lait à 3.6 p.| comme on pourrait le croire, le ré-[que nous venons de donner), lu
©. sit uu total de Rires de|sultat d’une paralysie, vessie æ rempli outre mesure et ne
presque Identiques à ceux de 1012| “Dans d'autres occasions, 1a|pout Plus 50 po Ba
. . L£ Æ. » » 0 ? »
et 1911 pour le même mois. langue sort de la bouche et y en-| 1 te organe, Le cheval a Ÿ c0-
Muis cette moyenne générale| € Drsissnmt, un peu à la liques, il s campe, fait d'infruc.
reouvre de sou manteau des ren panière de celle des gprpents, tueux efforts pour ufiner, Dans
dements bien différents par pro: | L “Parfois, encore, l'animal lalées cas it faut vider la vessie avec
vinces, comtés où troupeau, Pas!double, la replie en-dessous, saus| une sonde le plus tôt possible,
exemple à Suiut-Josæph, NX. B. la cependant la faire paraître en de- Chez la jument cela est assez fa-
roduction movenne était de 469] hors. teile; chez le mâle il n'y a qu'un
re de lait tandis qu'elle était! “Enfin, il v a des chevaux quil homme de l'art qui puisse y arri-
de 611 livres à Saint PAR | déplacent la langue de telle façon! ver. Voici N
Que. et de 809 livres à [ood-!qu'ag lieu de supporter le
$ock. Ont. De mème, la due telle se loge en-dessous. en caoutchouc, ou en bois, ou en
tion de matière grasse variait del “Les incouvénients qui résul métal un pen-tlexible, d'un demi-
17 à 27 livres par vache, Itent de ces quatre habitudes vi: | pouce au plus -de diamètre: on
Mais preuons ÿ des districts!cieuses ue sont pus les mêmes passe uu peu d'huile dessus: ou
sepi
—— 228
PRODUCTION DES
VACHES LAITIE-
RES EN ETE
comment on procède
mors, | chez la jument: On prend un tube
ine à l'écurie s'ils n'ont pas de li-|
nous ajouterons !
euttité d'urine, et tout malaise cesse!
[une poudre toutes les 6 heures,
[ Dans les inflammations de la
| vessie, l'urine est épaisse et expul
Is goulte à goutle; c'est ce qui
{fait croire que l'animal n'urine
pas du tout, Onpourra employer
les moyens indiqués pour la con
irlan
ont-elles rendus au publie
dais?
Chaque fois que l'on a fait une
enquête impartiale sur les avan-
tages que cette forme de crédit}
il :
rapportait aux eultivateurs, l'on!
a constaté que les empruntenr<l DE h à PRE LEP
gestion et linflanmnation desfavaient réalisé des profits de| |
I va des chevaux qui urinent! En plus, com résultante du
Dans l'Ouest Canadien
Î
{dans le fourreau: cêci est égale: | fonctionnement des Caisses, l'on!
(1659 - 1905)
ment causé par l'accumulation dela aussi eonstaté que, petit à pe |
cette matière noirâtre dont il «tit, leurs sociétaires se sont for
|Gt6 question plus baut, Quelques! més à la coopération agricole en!
lavages à l'eau tiède ct au SaVouigénéral, Elles ont contribué à
jainènent la guérison.
Par le Rev. P. À. G. Morice, ©. M. L
RTE SERIE VITE TANT
ee RS Pt EE te en à
TROIS FORTS VOLUMES
RELIES, SUPERBEMPNT
ILLUSTRÉES DE PHOTO:
QUI FAIT
ÉPOQUE
ee
{réunir des hommes qui ne se ren-
lcontraient jamais, elles leur |
lenseigné à s'aider mutuellement, |
| J,-A,
| 6 4 ——
| je {l'esprit paroissial s'est développt|
LA COOPERATION
[témoin d'un progrès immense dan
jtoutes les branches de lindustri
Couture, ont |
F . jet du commerce,
Quelques uns de ses résultats Ce qu'a fait l'Irlande, pourquoi
en Europe lue le ferions-nous pas’
- | [l est bien vrai que la plupart
est incontestable à ! de nos dirigeants soint incapables 1 LG +
EE. Dane. Ne PMAROIE JOLI LAND GRAVURES, CARTES, :. .:
mark OI Sa popularité à Ja coo. | de seconder les organisateurs des AC! PQ ‘scies ge
| pé ation, Dans ses écoles supé- coopératives: ils leur manquent FAC-SIMILÉS, 1 1 +:
rieures, on y enseigne les meil lun peu de formation et beaucoup
| leures méthodes coopératives: ain-| d'esprit social. Muis notre cler-
il est social par voca
(80 chapitres au dieÿ des 43 de la traduction anglaise)
L
Prix: 55.60 et $6.60 franco,
Selon ja qualité de la retitre,
|si, à leur sortie des collèges, les! \
jeunes dirigeauts peuvent [tion, Quand Sa Suinteté Pie X
went se mettre à la tête des or- | écrivait aux laïques les lignes sui
|ganisations existdntes, parce qu'ils} vantes, il supposait évidemment
{sont bien pénétrés de l'esprit quifque les prêtres eux-mêmes com-
{doit dominer associations: | prenaient que l'action est néces-
jet ils sont capables de mener à/saire”, Il disait donc:
gré est là:
ces
ae
Adresser les commandes à l'Auteur
ST. BONIFACE
AUS SG) mme
Son # x & pe €, x
Dictionnaire Historique des Canadiens et
des Métis francaisde l'Ouest -
Nouvelle Cditton auxmentéed"gn Supplément
Prix : $1.50 reliée êt franco, cing pour $6.00
|
bonne fin les entreprises com Ce ne sont pas seulement les!
jinencées. Aussi ce petit payefhommes revêtus du sucerdoce,!
linarche-t-il de succès en suce mais tous les fidèles sans excep-
| dans Ja voie du progrès, tion, qui doivent se dévouer aux |
Quant à ce qui est des écoles! intérêts de Dieu et des âmes... |
|prhnaires, les bienfaits que
1
coopération répand sur les gd ur temps présents.
ia | L° “action” voilà ce que réclament |
{lations rurales sont tels, que l'en- L'oeuvre des Caisses est un
“moyen d'action” catholique, par-!
ce qu'elle combat de “luxe”, 1 #1.)
Maintenant, une petite incur. vrognerie”, la “prodigalité”, tou-|
{sion en Irlande nous montrera {tes choses qui fout grand tort aux
ce que la coopération a fait pour âmes chrétiennes,
ce pays, |
{| El faut tout d'abord remarquer |
que, là aussi, le mouvement coo-| = = eu —— ———— né
pératif est de date récente,
LA LIBERTE |.
Sir Horace Plumkett et le R.!
Catholique et Francais Lie: à 7
©
sæignement coopératif n'y est pas
| nécessaire,
J.-P. Lefranc.
{ 1
{Père Finley furent les pères de!
| la coopération irlandaise, La pre- |
linière coopérative en ce pays date!
de 1859, |
Aujourd'hui, l'Irlunde possède
au-delà de “trois cents” associa-
uons de Crédit—Caisses Popu- ps
Dites --cont dpter 206 ie
ries et 1,041 autres coopératives
agricoles fonctionnant à merveil-
le, soit, pour la culture du lin, soit|
pour divers travaux domestiques. |
Nous avons dans la Province
nos laiteries coopératives, me di-
rez-vous À
Quelques-unes, très peu, por-|
tent ce nom, mais nous ne croyous |
[pas qu'une seule n'ait véritable- |
piment l “esprit” coopératif, {
Un fait singulier s'est mani-|
| fésté en Irlande! c'est que les |
ibuuques ordinaires, bouchez vos|
pudibondes oreilles, jerwez-vous
WEST CANADA PUBLISHING CO. Ltd.
WINNIPEG, CANADA
Vouilee, m'expodier contre la somme de $.
‘LA LIBERTÉ ", de \ 1913
NOM. Hors ti) à "+
Adresse
Bureau de Poste
w 4
Lee AO ER AT
Winnipeg. Mat.
re +
9 décembre 1912
Le |
j'irlons pas,
L'ANGLETERRE : = : l'aise. Du moine prou-
jui faut metire quelqu
.
iux DBritentions de ces
CAT TEE (| Darturt | aire Ex 1 >
CONTEMPORAINE.
vont aux * protestan
tes”, to ves AUX peu-
” 3 ples ca roûtés dans
La prétendue richesse des vi in rofrai
nations protestantes et la
prétendue pauvreté des l'7°" que
|
e : 1 TE " villes, les munici
nations catholiques. er | ne Lo:
pates ont pris à Zur charge a
1h fut us construcuom d'habitations ouvriè-
EL 1 letpipes ou ’» pla D
t'à ‘ le Fa ri le “logements IMUNICIDAUX
4 [L : }f { té Ô à 1
ta : hot M uver, & ] port * 4 le our
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trs peuvent do { mpression | € LÉ rl foie etininl it le
l'u euple « eine. prospérité, 1 enfin lhonune añimal vit «
Bou À NL CR NT Et ain, de bon air et d'un logement
{ t tt une belle facmhk ‘ à al
Il f fai ÿ lsalubre, Muis, après et au-dessus
A 2 pr VA :DIOS: ONE 1 {de cette vie, il v a Ja vié morale.
oi t nl utres « . s . Re à h
| pe ins autres quartiers dété ne s'alimente pas aux mêmes
Dei Pet LUS dé come sources, Et ici, l'homme ne vil
Le (El état sorial « ; Peuple lus sulement de pain : il Jui faut
1 faut pat exemple, de Li | laire sur ses
une Junuere qui |
f Î ts nl Lot ua! *
ü RTE) 5 Ju ju a Bethial | véritables devoirs. un cours qui
ireen Roi I. pénétrer de plain lui pemnette de les remplir un
ed dus F End | | |" |
se PE “4 sam 2 POUSSETE frein qui l'empéche de les violer
"A GE soir d L
QUUR AO. RES JU ET Jui faut'une vie morale.
\itechapel, jusqu'à Commercial] ‘4 s
, 1 Je ne fais le proces de person-
Road, jusqu'a Wapping: circuler : 51
s Fes ue mais je constate qu'il faudra
dui “ «et rue en bre . ° . .
il : : 1 faire l'éducation - d'aucuns diront
en gueuilles et de filles éel | e pr dure
ré x | . *“socia te? hon: religieuse et
aux robes trop ainbie ichetees au!
| “aile, et cela suffit !--de li Û
rabais duns une secondl-haul shop [morale el cela suftit! 1 fe
A. ! CE ulaise,
faut hi tiglal
| resp rer «ce “elent Où tiné|
de poisson frit qui ne cesse, 4 bec. Parcourez les rues (le Bethnal
daut, de vous poursuivre, Ce [Ère 1 le Ia key où de Wliite
n'est encore que l'enveloppe, déjà {chapel. Les public-houses sont
bondés de consominateurs aux mi-
cachées au des stms, nousines étranges et fatignées. et par-
fem-
répugnante, de misères profondes,
111
des
dirions des taudis”® mornes quifin ces ‘onsommateurs.
borilent les rues endeuillées ‘delmes! J'ai vu Ià des choses nnvran-
brume et de fumée tes: «les anères ayant amené leu,
I faut avoir vu tout cela, avoir
conne touché du doist les mistres
qui s'abrient li pour s3 faire une
juste idée de l'état social du peu-
et l'obligeant à absorber, malgre
æs gestes de dégoût, nn verre de
stoul éeumant où quelques gouttes
Muis
Angleterre, autant et quelquefois
compactes ome tout, enflu solution du problème, Je le
sais: lire du Salut y travaille.
ple ans les grands centres indus |inéine de qgin.
iriels anglais. { Rémédiez d'abord à ce fléau, qu
Fravaitatnt duns d sines, Vi frappe un pourcentage considéra-
vant du ul pro huit ch seuitible des femmes sorties des ares :
travail, les fumilles ouvricres ont |morulisez, élevez line de la fein-
dû grouper autour des fabri-fuie au contact de a vérité, et
ques, De K des En vous aurez fait un grand pus dans
plus qu'ailelurs, devient source defet je rends hommage à ses inten-
capital, les propriét ires ont trou [tions Mais ‘intention ne veut
vé l'occasion bonne de s'eurichir{pas dire “résultat”, dans aucune
des lovers d pausres De là k | lang . La Saivalion Any fait
prix relativement 4 les habif{ee qu'elle peut: elle a de l'argent!
tations et la diffieutié de se logerldes @squettes et des uniformes:|
convenablement el] du trombone et du lifre: |
Couséquet de appétitsc{elle dit de bounes paroles, mièvres|
les bougr «/ où J'onlet douceñtres, qui se terininem
li funilles nombreuses ltonujours par Afeluia! Any a pas
croup lun à tuisère noire, en | le sujet de si vite chanter victoi
proie souvent à la sulet “nour-lre! Lime du Salut n'apporte
rissunt presque toujours avec pel [rien de plus aux âmes que son va
1 { vel int de chiffons et li lue humunitarisme, I! leur faut,
hurch L'air inan ue, el la huniè- [à ces âmes, une doctrine sûre, qui.
re, et l'enu nécessaire au ménage.làh la fois, menace et console, tout
ueubles sont rares. d'ailleurelcela au nom du Dieu révélé, Pour
é x ve au à À R
au! 4 ten la suleté purfois! tout dire, il leur faudrait la grace
repoussante, et de l'inmoralité, avec les sacrements qui la donnent
l'ajouter que,
poupon à la porte du public-house|
1 l
tn tn tre nent enterrer ete sonisier: ste np … - . _ =
6‘ " T
(5 sacrements sotit ui élément. le | place au poutoir. L'impérialisme t un bond plus fort que es pré PPS RE QE Pa.
bplus fort. de vie soviale:—il leurlanglais y subira certainement unelcédents avec 3SS victimes, et
faudrait enfin l'Egliæ catholique. lerise la commence déjà—<et Je! l'augmentation se poursuit dan Appareils de Chauffage
qui dispense les sacrements. jlyroïsme britanique n'v trouver: des proportions très grandes, puis- |
Conmprenez-vous à présent pour-| pas toutes ses satisfactions ambi-! qu'en trouve les chiffres de 426 en!
quoi TlEglis catholique naiste !tieuses, C'est vrai. Ce qui ne l'est! 1911 et de 558 en 1912.
dans le sens d'une action sociale! pas muins, é'est que le parti tory.. Voie la part qui revient à cha-|
entièrement inspirée, dirigée pau son côté, n'a jamais beauco pique genre de véhicules automob
la pure vérité révélée? pensé à la msse miséreuse quilles. l'année dernière: autobus, 171
Î1 y a encore autre chose. Lalcroupit dans l'abandon et le vice.lyorts. 2.380 blessés: voitures au
femmne angalise, dans les milieux! Il nous a présenté une Angleterre! tomobiles. 117 imorts, 3.222 bles
ouvriers dont je parle, ne sait pas! puissante an dehors et resplendis-| fs: autotaxis. 40 morts, 2.09
du moins à l'ordinaire --tenirisante, avec cela sigmfiée dans le | blessés : tramways automobiles, 537
La cuisine est souventtculte froid, distant, essentielle-! horts. 2320 blessés: motoevelet-
tn + souvent elle n'est pastment aristocratique de la Réfor. | tes, 7 inorts. À
TU . l'homme tés d mer Tout, cela change 2 dlevait| Le mème document nous donne : 0 . .,
tre, harassé, s'en Ya chercher pour !clanger. Les rigs: actueller aussi la preuve de l'insouciance Char ette Kirk Cie Limitée
trois où quatre, soi de poison a!au pouvoir, iront, Je le CAS erogissante du publie londonien ?
la friterie du quartier. T1s’habitne|trop, loin dans le sens du démo-| on ce fait que SLST6 objets per
nn han. ue nr ii-souête EEE FRE IR. Le langer Es qu'ils Ne Qus ont été apportés à Scotland! Bains, Appareils de Chauffage et de Ventilation
qu'il le supporte toujours sans se se livrent à Ja surenchère électo [Yard én 1019, contre 73.018 l'an. Cu Tiobiles FO Four
facher. rule. écueil de toutes les démocra Fr iéo£dente x k ee 3 6
Les enfants, souvent mal vétus,.!ties., Ce serait alors l'effondremen: | L ; : F5 + | naises à leau chaude, à la
mal lavés et peignés à la häâte.lde l'Angleterre traditionnelle. | D'ailleurs, tout augmente, de: Vapeur, à l'air :haud.
|
s'en vont en guenilles, le mère nelles igx veulent être sages, 1ls
ré | près ce Livre bleus il A
a eu,
ce *. « {n! re on 2 027 artéatn. | PLOMDBAGE,
voulant pas où ne sachant pas te | tabliront doncement l'équilibre so {plus qu'en 1911, 5,951 urn ta | luit FA
. | Fe 1 : ] ‘1. ltions pour ivresse publique: 1,755 Conduits pour le
r l'aiguille pour rapiéeer, oulcial si profondément altéré: ile Û f ay EU | ere Plafortile Méta!
th « : à É : . } . OC aux règlements de ivertures, lufonds Metat-
uésitant à tremper ses doigts dans! viseront à u'être interventionnis [pour miraction aux reglemen : ou vw { i
l'eau de lessive,
C'est done toute une éducation!
agire qu'il faudrait institner.
lis à dessein “éducation à fai-
re”, et non pas seulement “ensei-
gosnent à donner”. Ce que naus
avons déjà dit me dispense delgleterre...
m'expliquer sur cette nuance, On Mais gauiæ à la démocratie! Je
n'inculique pas “le sens social” à vous le dis. si elle s'en mêle, tout
lcoups d'enseignements théoriques, | «ra perdu, et FAngleterre ira aux
Evcore ua coup, cette question est fabimes, Nous en savons bien quel-
religieuse,
tes que dans la mesure strictement
enfin. is feront à l'E
glise catholique. élément de vie er
de paix. une part très large. A
*s conditions, on aura le droit d
ue pas désespérer du sort de l'An-
nécessaire :
LE
[que chose...
j +
| L'enfant, qui monte à Ja vie du sa D
|fond de ces tandis, est souvent!
comme une planté incapable de! |
grandir et de se développer, 14e | .
Auglais sont fiers de ln viguen |
physique de leur race: ils nous en | REC RD DES AU
donnent des spécimens dont on ne| F
pe dire qu'ils soient mauvais,
’ourtant, il va d'autres spéei | TOBUS
mens à produire: et ceux-là ne!
s'exhibent pas, il faut aller les
contempler sur place, | NEIGE + +
enfant de l'ouyrier des ville. Les arrestations et la crimi-
est imalingre, pâle. Souvent il nalité infantile.
meurt de consumption, de pthisie.! CR
Il servirait de peu d'avoir mo. Un Livre bleu, qui vient d'être
ralisé l'habitant des slums si l'on publié à Londres, donne des statis-
Ine moralisait parallèlement le tiques intéressantes sur Ja cireu
propriétaire, Celui-ci, à supposer! lation, les accidents, les arresta
jinéme qu'il soit en règle avec laltions et la crimindité infantile à
{loi, ne doit pas ignorer qu'il a des | Londres pendant l'année dernière,
lobligations, et dont il est tenu!Ce document est intitulé: “Rap
irresponsable, au for de li cons! port du commissaire de police de
science, la métropole pour l'année 1912.
Ha le droit de le La diminution continue du noin-
lprix convenable de loyers he des véhicules à traction hippi-
percevoir
ses
[Nf: il : devoir de veiller à ce | |
Mais il a l'edevoir de veiller à es lque et Jeur remplacement par des
ique les logis qu'il offre-et que! {Gitures automobiles de toutes
l'ouvrier est obligé d'accepter! ortes sont démontré: de manière
{soient au ions salubres et pro Ffrappante par le nonbre comparé
pres, L'Eglise catholique rappelle | 4 permis de circulation délivrés,
au propriétaire ces devoirs: peut-| Ce nombre est de 2821. en dimi
ton dire que l'Eglise anglicane, au nution de 1402 sur l'année pré-
Lcours des trois derniers siècles, l'en! lente, pour les eabs, les omni
fait instruit avec autant
chevauis,
tance {
d'insis-| us et les tramways à
Un “0 l'a |
3.10, SOIl
tandis qu'il s'élève à L
L'Eglise anglicane, très grande! une augmentation de 1,18, pour |
dame bien dotée, grâce aux dé-|les mâmes véhicules à traction an-
ipouilles de FEglise catholiqi@.} tomobile,
commence à peine à s'aviser qu'il Estece à cet accroissement du
Léxiste une question sociale et que! nombre des voitures automobiles
vote question-là est aussi reli qu'il faut attribuer celui, très con-
igieuse, Et si après un long oubli! Sdérable, des accidents de In voie
lelle veut bien s'en souvenir, c'est! publique? Cela paraît évident
que l'action efficace de l'Eglise! l'on considère la progression cons-
catholique y contraint, En quel- {tante qui s'est produite depuis dix
ques années, les catholiques d'A uns dans le chiffre des personnes
“1
gleterre ont plus fait, pour mora-ltuées par des véhicules de toutes!
liser louvrier et les patrons, que! sortes dans les rues de Londres,
l'Eglise Etablie en trois siècles. | En 1903, il y eut 154 victimes:
L'Etat anglais finit aussi par! 156 en 1904, 172 en 1905, 212 en
s'émouvoir de tant de misères. 1111906. 283 en 1907. 326 en 1908: en
y a, du point de vue national, | 1909, on constate un temps d'ar-
quelque uaprudence à laisser lelrèêt, et même un léger recul, avec
gouvernement actuel garder sa | 306 tués, mais l'année suivante, on
| |
police : 797 pour sur les
[courses ; IST pour simples:
[208 pour jeux prohibés: 251 pour
vagabondage et 4 pour vols avec
effraction, Seuls le cambriolage ei
{la mendicité décroissent: le pre-
linier de 78 cas et la seconde d|
1766, |
paris liques. Pians, Spécilications, Estima-
vols
tions et informations fournies sur demande par:
J. A. CHARETIE, Gérant.
SAINT-BONIFACE, MAN. CASE POSTALE
17
Enfin, le nombre des déliquents!
âgés de moius de seize ans inis en| Allan, Killam & McKay
état d'arrestation a été de 3,450!
Courtiers :
au lieu de 295% en 1911. assurances, leu
| | bles; agents de change, ete.
2222 ——
Representent :
LES BROCHETS |
POLICIERS
En 1
{La truite est, au dire des sa-|
vants et an su des. pêcheurs, le |
plus irascible des poisons, Ce sont, |
lentre ces délicats, d'incessantes!|
(batailles, et il en résulte une di!
lininution si extraordinaire dans
ile nombre de leurs pensionnaires
ique les piscieulteurs ont cherché
des remèdes jusqu'ici inefficaces,
Insurance Co, of Noith America,
Royal Insurance Co. Limited
| Scottish Union & Naticnal ins. Co,
Quebec Fire Assurance Co,
Ocean Accident & Guarantee Corp.
Ocean Marine Insurance Co,
Union Assurance Society.
Sun Inswrance Qffice
364 RUE MAIN -
Tome Insurance Co,
North West Fire Ins, Co,
United States Fidelity & Guaranty Co,
New York Plate Glass Insurance Co,
Dominion Gresham Guarantte & Casu-
alty Co.
Scottish Canadian Mortgage Co,
London and British North America Co
WINNIPEG, MAN
Mais voici pour eux une Tueur
d'espoir, Un gardien du Jardin
zoologique de Londres à tout sim- |
|plement où l'idée de charger deux!
{jeunes brochets de faire ta police. |
Les truites sont devenues d'une
politesse obséquieuse, non seule-|
lient vis-à-vis de leurs détecti-!
lves, mais encore entre elles! De-
puis que les brochets sont là, plus
|de dispute, pas une seule n'a mon-!
tré sur son corps une trace de
dents!
| Mais, nous direz-vous, les bro-
|chets vont langer truites ?
ÏNon! Carils sont trop petits...
On les surveillé; et, dès quils unt|
l'age et la force de devenir dan-| M. e d’ sd. .
uereux, on les remplace par del aison e ucation i: Mae à
| : jeunes, Ce n'est pus plus mo-! ë é CRE &
ele nt 1] devenir prêtres missionnaires oblats. Pour plus amples ren-
seignéments s'adresser au KR, P. Directeur
ke terre) Juniorat de la Ste Famille
Saint-Boniface, Man.
les
|
|
|
Î
|
pour les jeunes
| " :
—Encore un signe des temps,
ds'écrie un assistant, que cette agi-
ltation des... esprits!
| Terrains près de la Jigne des tramways et les liuites de
| la ville, Hiestrictions pour bâtir, Conditions faciles,
|
| - TRANSCONA ———
| Terrains à vendre, $100 et en montant, Conditions faciles,
Tel. Main 3498
| re T. J. LANGFORD
517 Union Bank
Ps ee ner
AAA sas | h ET %
Roman de Le
La Liberte DERNIER DES MOHICANS
| No 7 PRES SAR |
(ERREEN
Et comme le jeune chef mohi Cora, tonjours résolue et à la
can rebtrait dans la grotte après! hauteur des circonstances les plus
1 re'ontnulssance au dehors, le lcriti ques, se leva sur-le-chaf, et
| leur sa jeune soeur la suivit, stccom-
chasseur Jui demanda dans
Jai gage. qu n'entendaient point bant presque à sa” frayeur, Uneus!
Jeurs: hotes, ce qu'il avait vu, gt souleva lu portiere pour les laisser
Passer, el, en retournant
reine le jeune chef de cette
les avait pus truhis, Uneas répon. |attention, elles aperçurent le chas
dit de mêine, mais d'une facon sœur assis devant les tisons qui
décisive, qu'Oeil-de-Fauvon se erutls'éteignaient: son front était up-
obligé de donner quel ques reusei- puré sur ses deux mains, et touts
gnements à nos Voyageurs, [sa personne, comme sa pose, indi-
“Le: Cerf-Asile n'a rien vu d'in- |quait HssZ ui homme : absorbé
quiétant autour de nous; la lu [4225 la solution d'un difficile pao
{blèmne:; il rétl ait profondé-
lière de nos feux he æ voil point LL | "
dn Hukbees due 2 tra. uent sûr le bruit inexplicable qu
hi.” Puis il ajout: lue
lent et pré ‘Cu
la lumière, se montrant quelque
part à }
iruvels les couseriures, ne
huis
ul air
ont “Pysse, interrompu si inopinément
| maintenant daus l'uutre fa | Priere du POIr.
10 et € 1 : Us rep es Hes war, raimassaht dans le
Vols avt le son foyer une branche de sapin am-
faut que noi ous dlebe \untibrusé, (raversa ke passage qui re-
le lever d is Là it les deux Mies: 11 pénétre
whions d'arriver demain au fortidans ln sevon places sa torche
Edouarl avant
lle les
aient quvert "
lès Veux
Mugos la fixant dans une
BiErox isée en
janfractuusité
pour |
it fait enténdre et qui avair|
leur! :
du rocher, de façon jus: aucuu dapger ue vous me- |
1
qu'elle püt continuer à brûler: 11}nuee de ce côté; vous savez quel-
se trouva seul alors avec les deux!les vigilantes sentinelles vous avezlil est père, et le courage le plusice coin de terre abandonné!
jeunes filles pour la première fois! de l'autre, Pourquoi ne suivriez-
depuis leur départ du fort! vous pas le conseil que vous a don-
Edouard, [tué le chasseur? Assurément Coru
“Vous ne nous quitterez pas,|sera de mon avis et conviendra
Duncan, dit Alice au mojor, Vous|les deux.”
n'inaginez pas que nous puissions! La courageuse jeune fille révon
dormir duns un pareil lieu.|dit simplement:
quand ce cri horrible retentit en
core à nos oreilles, [la sagesse de cet avis, sans pour-
| —Je veux anassurer d'abord |taut étre en état de le mettre en
reprit le jeune honme, que vous! pratique.” Et, tout en parlant
lètes bien en sûreté dans cette re jainsi, elle disposait des branches
jtraite; nous verrons ensuite ce|de sassafras pour en faire une
qu'il v au de migux à faire.” sorte de couchette sur laquelle el-
Il s'en alla jusqu'au fond de la|le déposa sa jeune soeur, littérule-
caverne: elle avait, comme lJalwent épuisée.
première, une issue soigneusement! *O Heyward! ajouta-t-elle aus-
fermée par une couverture qu'n/sitôt, quand bien même nous
souleva avec précaution; l'air pur! n'aurions point entendu ce cri ter-
et. frais montant de Ja rivière! rible, n'avons-nous pas assez d'au-
vint le frapper au visage, Il re-[tres causes d'inquiétudes? et ne
garda, et malgré l'obscurité il ne! vous expliquerez-vous pus aisé-
‘put se rendre compte de la situa-|inent que le sommeil ne puisse
tion: un des bras du fleuve cou-| fermer nos veux ce soir? Songez,
lait là encuissé profondément au! Heyward, à la situation de notre
hwilieu d'un lit de rochers: l'onde | pauvre père, prévenu de notre ar-
(fuyait uvec rapidité: elle se pré- | rivée, Il se demande à l'heure pré-
ituit d'abord du haut dujseute ce que nous sommes deve-
gitait avec violence, écumant et}a attardées dans la forêt: il se
bouillonnant: puis enfin elle était| représente ses filles bien-aimées
{jetée d'une grande hauteur dans'aux muins de ses ennemis, aban
ks profondeurs du gouffre ouvert | données peut-être à la cruauté, à
à quelques pas et sous les pieds du!lu rage des sauvages. Pauvre pè-
(re! le sowmeilne fermers poini
yeux cette mut! Commemn
voulez-vous que nous. puissions
| jeune officier, Ce rempart naturel
parut à Duncan plus sûr et mieux]
léfendu que les meilleures forti-|
livations ous-mêémes dormir {
“Venez lit-il avant de Ne vous abandonnez point à
laisser retomber la couverture, ve |de semblables pensées, je vou»
nez voir la barrière établie par la! prie: votre père est un soldat:
Providence entre nous et nos en |sait fort bien qu'on peut toujours
s'égarer au fond des Lois...
ses
voir.
: L
“Je peux reconnaitre volontiers
El
| Glenn, refluait sur elle-même, s'a-[nues, quel malheur terrible nous| fort Edouard, quelle lutte violente
—('est un soldat, Duncan, mais] l'honneur de son souverain dans|danger inconnu, et contre lequel,
pensait-il, le courage et lexpé-
-Est-ce qu'il n'a point parlé defrience de l'homme le plus fort ex
moi, Heyward! s'écria avec unc|le plus sagace devaient échouer,
ses, sorte d'affectueuse jalousie la plus! “Lorsque de tels sons se fouit
Alice, demi-pâmée, ne perdai!jeune des filles de Muuro, 11 mefentendre duns la forêt, dit-il sans
pas un mot de cet entretien; elle! semble impossible qu'il wait pas |
se souleva et dit d'une voix pro: [trouvé un mot à dire qui concer-
fondément émue: [uât sa petite Elsie, {C'est sans doute un avertissement
“Pauvre père! que de bonté, Il ne vous à point oubliée, re-[que le Ciel nous envoie pour notry
que d'indulgence il a toujours eue! prit le major, et vous savez biex bien: il særait insensé de n'en pas
pour tous mes désirs, pour meslque c'était chose tout à fait im-| profiter, J'aflirme que ces jeunes
fantaisies, pour ines folies ième! | possible, AT s'est exprimé à votre !dumes peuvent rester sans crainte
Oh! conmime nous avons eu tort,|sujet dans LR termes les plus ten. |duns cette retraite inconnue et ab:
chère soeur, de vouloir aller le re, [dress il à dit nulle paroles ahoa-|sohument sûre, à moins toutefois
1
|
[tranquille peut laisser le dcoeur |
jen proie aux plus vives angois-
préambule, nous ne pouvons res-
[ter cachés ici plus longtemps.
{joindre dans un pareil moment !|bles que je ne me hasarderui pus à|que ce er..." Le chasseur n'ache-
| C'était trop présumer de nos for- [Vu pis sa pensée, il était évideit
vous répéter, ais dout je sent
l ces. \bien toute la valeur et toute Jalque pour lui ces sons horribles de-
1 valent avoir une origine surnatu-
-Vous avez raison, Alice, j'ai! justesse, 11 m'a dit..."
peut-être trop insisté pour obte-| Duncan fut brusquement inter. {relle, “Les Mohicans et moi, nous
i décidés à aller monter la
[uir son consentement à notre dé-|rompu: et en même temps il vit le !sounmes
Mais j'ai voulu, et c'est|doux visage d'Alice, tourné vers!garde sur lg rochers, et je ne sup-
|
part...
là mon excuse, lui prouver qu'a|lui avec l'empressement de la plus! pose pas qu'au, inajor du s0ixaur
l'heure où tout le monde l'oublain}vive tendresse filiale, ne voulam/{titine régiment ait lu pensée dé
duns une situation désespérée, ses| pus perdre une seule de ces paro-!demeurer ici pendant ce jermps,
filles au moins ne l’abandonnaieut|les, tout à coup bouleversé le mé-! —Croyez-vous, dit simplement
pas. Line cri épouvantable qui déja les! Coru, que nous soyons menacés
+Ah! reprit le major, interve |avait si fort eflrayés se fit enten- | d'une attaque inuinente {
nupt dans ce débat intime, quand {dre de nouveau, Les premières mi-! Dieu seul, qui a créé des êtres
il sut que vous étiez arrivées aufnutes qui suivirent celte seconde [spas de pousser des cris
ajurme se passèrent dans l'effroi! puissants et si terribles, et qui les
s'éleva dans son coeur! comme i.{et le constérnution: et tous les! fait entendre pour l'utilité de sa
fut longtemps partagé entre laltrois, se regardant attentivement, !créature, peut savoir si le danger
crainte et l'amour paternel! 11 | puraissaient attendre le retour du|qui nous menace est proche
avait si longtemps qu'il ne vous|imêine eri ayec l'angoisse, d'uneléloigné! Mais je fous affine que
avait vues! L'amour paternel}crainte nouvelle sil venait à se! pour moi, je croiruis manquer au
|l'emporta: je l'entends encore, is reproduire, [ls n'avaient Pas en-!respect, à la déférence que je dois
|me disait: “Le courage de ma no {core prononcé un ot quand, sou-làx Ja volonté du Ciel, dédui
ble Cora les inspire, je ne veux!levaut doucement la couverturelgnant des avertissements semblu
lpas fromwper un espoir si géné-|qui fermait la première entrée, le!bles, je m'enterrais tout vivant au
Lreux.” Et ce vieux défenseur de la!chasseur parut à lu porte, mon-|fond d'une pent
{patrie ajoutait avec conviction.{trant un visage bouleversé: son |dérober à un ennemi mortel, mais
|“Plût au: Cie] que la moitié, de lalénergie, sous le coup d'une jan {qui peut échapper aux regards du
fermeté de na file passat dans le) pression mystérieuse, était ébran |Tout-Puissant ? Quant à ce pauvre
[coeur du soldat chargé de garder! lée; il se sentait menacé par ux)diable. votre compagnon, qui pas-
3 l |
si
où
‘a verne:s 01)
ae
Hit
ne ee —
teen
°
D NE encre
A. MAÉ AO ds
no dm
née de l'élection aurs done lieu! Canadiens s'auginenter de jour ct Manitehà Telephoyes a envoyé à
anardi 16 décembre, Nous espérous| jour, sersient disposés à vendre|tous -lés coniribadbles. des . blancs
que les Canadiens français, Fran-!leurs propriétés avec d'assez bon-|d'a
ais et Belges du distriet vônt./nes conditions: Ils ont l'intentior | tous signeront et que motre village
unis comme un sul homme, ac-|
|d'aller s'établir dans certains dis | verra bientôt eh possession d'un
coplit leur devoir, de patriote! tricts où ils ne seront qu'ave des! magnifique réœau de téléphones.
éclairé, cœ.jour-i. Surtout pas!gens de leur nationalité, | Gr
d'abmentions | Nous aimerivis Lealcoup à voit
rer iles Canadiens français
PROVINCE
SAINT-LEON
M wi Martin. autrefois de
Saint-I£on, eat de retour lui ats-
si du fameux Ouest, Ce monsieur
PE
A l'assemblée tenne;lumdi der-
s'empres-| nier, M. Philippe Painchaud
mr
ppheation, Nous espérons quéltème”. lorsque À
|
!
|
“J'engageai ma
# der explique briè-
vérnent mais chairement eétte im-
te + + > À à 20 Een
Le choeur entonne l'hymnelte et dépusa son suffrage électoral
romessæ au bap-|daus l'urne.
a —
posanté cérémonie des voeux du! MORTS EN CRIANT :
baptème aux enfants agenouilk
devant Lui et prêtes à prendre les
responsabilités. Pour couronne
ce jour béni, la chorale chante le
salut du Très Saint Sacrement er
la foule se disperse pour se rus-
sembler de nouveau le lendemain
À la messe pontificale d'actions d
grâces.
C'est
sire de l'ouverture de notre éo
le. Alors c'est un banquet que les!
Commissaires désirent avoir auu-|
quel Sa Grandenr sera président.
Les tables sont décorées avec goût,
les fleurs et les fruits répandent
leurs parfimas, les dames se pres
sent autour des plats et les jeunes
filles babillent en attendant le
festin qu'elles doivent servir, En
“VIVE LA FRANCE!"
On « trouvé, annonce le Daily
Chronicle, dans une bouteille re-
cueillie au large de Brondstairs,
sur x côte ‘d'Angleterre, nn ma
nuserit en français donnant le
compte rendu des dernières henre
de quatre hommes qui formaient
avall son port d'attache à Diep.
pe. . *
Une partie dir imessags est de
venue illisible: mais de ce que l'on
a pu déchiffrer il ressort que le
batenu se trouvait en janvier 1911
sur les côtes de In Norvège, qu'il
était désempuré, avant perdu son
gouvernail, ete des courants
NAN A UE
innipeg, Man. 9 dé
fint tont est prêt,
‘teurs,
‘ h
: “ ” . n . TM : 4,
fait parmi nous dimanche der! Encore une sutre élection. Cel |ser à s'emparer du sol qui reste}ét6 élu commissaire d'école.
Mer, heureux de rencontrer les)le-lù nous Inisse, nous catholiques, {encore à prendre, ce qui nous don CR
anciens anis. F va s'établir duns|tristement froids, 1] s'agit de l'é rer le moyen de former solide-! M4 je curé Poitrvas a assisté lun
le ie de Cardinal leetion du comté, fixée an 13 delment une grande et belle paroisse! di à ln. -béndiétion de Ja nouvelle
| …. | ce mois. Nous avons en présænce.|qui serait absolwment françaisé église de Saimt-Adolphe, May.
M. Aliert lange est égale quoi? Deux anglais protestants} catholique. :
, Dé PA aute lines À nr 4 ar N 4 ..: ! pee Gr
pars; 10 lepuis quelques patronnés par qui? Deux partis, ! : d l Lu magnifique tenipérature que
nes Il retonvnera sur sa con- traîtres tous deux à leurs promes-! Nous devons féliciter M. Lomn | nous “von: fait serv tout j"
.: . # + # * . LE y 1e .| K
cession. {ses, où à leur passé, Que désirent-| Ménard de l'heureuse idée Qu'il «monde vrai témps d'été, pas un
. * ilst Un peu de cette magnifiqueleue de bâtir un magnifique hôtef! * c'e ES -
\f ollerie est d tt | biel: da taniti tud ft Sr pa ape I {flocon de neige sur les immenses
vob PONT cest qduassietle au beurre, © Jet dé tant!ijuste en face de la «tation. FL 0 rm Chaud iii Lin
RE ne proniéunde de deux |de. bassesses et d'actes ceyniques plans sont. de première classe et Curieux afiure aura Saint
t l'un c|de, bas t di À -jplans son PERRIER CRE Qi ESS lorsqu'il ne pourra pas se
Os, passée à Visiter parents ec| Et que nous promettent-ils en finknous savons de source certaine er : “4
À à { dà ; tsertir de son traineau quand j
it à la grande ville, de compte! Beancoup plus defque l'ameublement de cet hôtel se viendra rendre visite.aux “Tout
CA beurre que de fromage. Pour lelra des plus perfectionnés. | Petits" vità Khi O e jour de
2 : . 2 1 7 n .- ;
| dre Viet e riel ch »1 on "= autre + ss + ‘+ «
NM. Ak Labossière vient d Ferme 1) peut toujour 3 ire | à l'An, EF sérm dns donte forcé
’ é lentellement une tréel Mais au sujet de nos justes EVENT Les battages sont terminés de l'atteler seÿ J&HDEs sur Une “voi-
nine juin Cet animal, omme | di ANR MUS PONVONS-RONS eee {puis la semaine dernière et nous ture d'été”, qu. plutôt il pourra
nombre de ses congénères, avant rer? Rien, peut-etre Amos Que; avons maintenant des échantillons voyager ch hotte
i { uson Nberté de passage,| rien... 5 ide blé, d'orge et d'avoine qu} {Les routef mt belles et Saint
toi dans nn fossé d'égoutte Nous ne wInInes par INUrS DOUT! pourraient donner des points aux! \icolns pourra faire du 40 milles
ent, el essa val probablement ve parti atholique Fa pr grains de certuns Cantons quil Je me demäride quelle sorte de
de verser, Un hasard amena | Nous avons déjà perdu par notre! passent pour très fertiles. machine il se servira !
le propriétaire du terrain sur les| manque d'initiative et d'organisa- nn Peut-être uné tuto Ford, puis-
eux, lequel s'empressa d'avertn rs à mngpes de Le entrer un Nous n'avons pas. encore t,}qu'elles sont moins dispendieuses
| Lu ut …: | des es, « ° ! : Put | | ù
M, inbossière, Malgré tou les |des no L ét dm ble on AU lhrin de neige par ici et les che- | que les autres sortes, ét elles coû-
4 | , . ’ , ous el ete Tavors LL Ne ur è : : .,» + .
sins l'animal suecomba le lende-| nous eut été fa i; vtt À. e ur | mins sont aussi bexux qu'en été. [tent mioins cher d'entretien.
LEE ERVOR Pas: RSC :38. QUeRIon | sed En tous les cas nous verrons ce-
CRC Elle en vaut plus que la : 4
pei
ne. Cela nous servirait autrement
|
M, Jabras, journalier, est parts
mercredi 3 décembre nvee toute[que tontes les pétitions possibles,
sa fa . pour Arborfield, Sask.. Lorrain.
où 11 désire se créer un avenir en mnt De
se prentnt une concession grietuite |
Nous lui souhaitons bonne chan- FISHER BRANCH |
ce, TS |
#2 Hier ler décembre, les contri-
M. Calixte Labossière et Mine buables du district scolaire de De
Labemcière, mère, s'en vont résider | Laval se sont réunis pour l'assem-
à Sounerset cet hiver. blée annuelle,
Hd M. Wilfrid South fut élu com-
\ l'ussemblée des contribuables! missaire pour remplacer M. Harry
ou district scolaire de Saint. | Kaout, sortant de charge. La com-
Léon Village, le ler décembre. ! mission scolaire se trouve mainte- |
présidé par M, Georges Rondeau, {nant composée comme suit:
MM.
secrétaire, le RP, Dom Marie-{ Delphis Ménard, Elis Tougas et
\itoise Straub, curé, ont éte Wilfrid Smith. |
nommés, M. Gédéon Boisvert, | MM. les commissaires, après
conne conmnissaire en remplace
le M, Muthias Fortin, pré-
sentement à Winnipeg, M. Joseph
Labossi comIniIsstire eh rem-
placement de M. Azarie Labossiè-
re, sortant. MM. E.
Kern, Ovila Garrenu come audi-
avoir accepté la résignation de M.
Irénée Lablé ont engagé M, Wil
frid Grégoire comme secrétaire. |
trésorier. |
L'assemblée fut très paisible et |
le choix du nouveau commissaire
parait être du goût de tout le mon-
de,
nent
re,
COoHRISSAI re
A cette assemblée, 11 a été dé
cidé que les commissaires
aiudorisés à contracter un emprunt
Fr ++
* : REA |
SONT M, Giusson et son fils, ninsi que |
sus débentures pour le montant de
SO, cette sonne représentant tn
très long arriéré dû en faveur de
nos religieuses enseignantes,
+
Pierre Leduc, de Saint-Eustache,
Man. viennent d'arriver pour
“installer sur les terres qu'ris ont
prises dans les limites de la pa-
rolsse,
Comme il leur sera facile de se
Lundi dernier. 24 novembre, i:
y « eu à l'église paroissiale la cé-
ébration du mariage de M. Da-
vid Smith et de Melle Léna Beau-
champ.
La bénédiction nuptinle fut
{donnée pur le Rév. M. O. Cor-
beil,
“+ *
MM. Hébert. Jenkins Fe.
braid sont arrivés pour passer
l'hiver sur leurs homesterads ei
nous en attendons encore quelques
autres sous peu,
*
et
+ +
M. William Bruneau est allé à
Winnipeg pour affaires.
mr +
FANNYSTELLE
M. le Capitaine Joseph Piché
est de retour d’un séjour de deux
mois à Suinte-Gertrude, P, Q.
# #
#
M. Henry Hullmever nous - a
quitté mardi pour aller passer le,
fêtes chez ses parents duns les 1 | "oué.curé, lé R. P. Costiou, au
linois,
* à *
M. George Hetzel s'est aussi en
volé vers les cieux d'azur du Ne-
braska, où il passera joyeusement
les fêtes,
CR
M. et Mme Gustafson sont de
| généreux. senfitients ét félicite le
Notre charmant évêque est en
bas faisant connaissance wvec ses
diocésains qui garderont toujours
pour Lui un pieux souvenir,
L'heure est arrivée, notre vénéré
Curé ouvre le chemin, suivi de
Monseigneur, du R. P, Provincial
des RR. PP, Valée, Killeen, des
principaux de la place et de tant
d'autres qui désiraient rencontrer
leur premier Pasteur,
l
|
la quand Saint Nicolis viendra
| faire sa livraison de jouets.
l Yronni .
| 4 ——
FORT FRANCES
| Cette seninine notre petite pa
roisse était en liesse à l'occasion
| de la visite de notre nouvel évê-
[que Myr Béliveau, pour la Con-
lirination des enfants.
| Monseigneur arriva iei le 29 au
|
|
|
C'est un somptueux souper qui
fait certainement honneur aux da-
ines qui l'ont préparé, Sa Gran-,
deur est le premier à donner un!
discours suivi du R. P,. Cahill,
pionnier de notre paroisse, du P.
P. Killeeu, du maire, du juge, ain-
si que plusieurs autres, Tous ont
parlé avec grande louange de no-
tre école si bien conduite par n6-
ire bon curé, aussi éclairé que dé-|
voué, Celui-ci remercia finement!
les participants en les invitant à
revenir, On dit les grâces et cha-
cun retourne à son gite pour ré-
ver à cette fête grandiose. |
Monseigneur nous laissa ce ma-|
ün, Notre seul désir, c'est de le re-
voir bientôt,
soir aceompagué du R. P, Cabill,
provincial des Oblats. Dimanche
à S heures Sa Grandeur célébra ln
sainte messe et à la communion
jun grand nombre des fidèles S'ap-
prochent, de Ta sainte Table.
[Avant lé chant de la grand'messe
par le R. P. Cuhill, il y a ne pro-
cession du presbytère à l'église an
chant du “Vivat”. Avant donne
sa bénédiction solennelle, My
préside à son trône,
Après la messe ame magnifique
adresse ‘présentée pair notre dé-
à A A
EN ITALIE
Les élections législatives vien
nent d'avoir lieu en Italie, mar
quant la déroute des anticléri-
Caux,
nom des puroissiens exprime de
Pour la première fois, le roi
nouvel
l'emportyient vers les
he G, DS à
glacées dun Nord, Les quatre hom
mes souffratent de {nu soif, n'avant
plus d'eau Gouce à bord, ét subsis:
taïent eh ninngeaiht
qu'ils pouvaient pécher.
N ,
es poissoiie
Daus une autre partie de la
dernière lettre des naufragés, on
lit qu'ils ont perdu leur dernière
ligne et que les souffrances de la
faim sé sent ajoutées à celle de
la soif...
Les dernières lignes annoncent
que le bateau fait eau ét s'emplit
rapidement... Le seripr ir
mine ainsi: “Amitiés aux camu-
rades,.. Vive la France!”
Ces hommes, dont ln suprême!
leurs |
manifestation à été pour
amis et leurs pays, avaient néces-
sairement l'ame chrétienne, Sou-
haitons que la pensée du ciel ait
adouci leur fin tragique.
DALTON R
Pour achats
prets, assura
solitudes |
ter-|
VENEZ NOUS VOIR
cembre 1913
| _—
:
LA VILLE SANS
; APPENDICES
| Rien ne désignerait à lattentior
la petite ville de Coie
| brook, dans l'Etat de New-Hamp
Ishire si elle n'était.en train d'éta
blir un record d'un nouveau ge:
re qui lui fera bientôt, au dire des
[journaux anférienins, mériter 7 le
go de “cité sans appendices”,
Trois mille de ses habitants ont
p iblique
le ler décembre, anmives {l'équipage du bateau. Æxpéranc , | subi déjà l'opération de l’'appeud:
lisparu depuis denx ans. et qui|
cite, et les chirurgiens continuent
d'ouvrir les flancs avec une régula
rité qui fait espérer qu'il n'y aura
iplus bientôt un senl citoveri
Colebroak en possession de
jappeudice vermiculaire.
| Jusqu'à présent, les classes 1:
rer surtout donnent l'exemple et
[se distinguent par leur entrain :
l'est plus agréable de, se livrer a
bistour: quand on Je peut fair
{avec tout le confort modern
[Avec quinze jours passés
de
son
d ins
{quelque somptueuse chnique les
glorieux amputés sont quittes et
peuvent jouir dans la cité d'u
{prestige spécial dont. ils se mon
|trent très fiers. En vain, d'émi
|[nemes personnalités médicales pre
|testent contre une mode tendant
(faire de l'Amérique le pays où
l'on fait le plus d'opérations inu
tiles, mais les citoyens de Cole
|brook, dont les ventres affamés de
{gloire n'ont pas d'oreilles, ne veu
lent rien entendre, Ils persistert
ù faire extraire leurs appendices
On leur représente qu'ils retour
nent aux moeurs barbares et que
leurs cicatrices ne sont que des ta
touages: c'est en vain. Sans dou
te, estiment-ils que leurs cicatrices
laissées par des instruments asep
tisés et perfectionnés ne peuvent
être que des marques de progrès,
EALTY CO.
de terrains,
nces ou loyers
2
eee
\êque de toutes ses oeu-
d'Italie, se conformant aux dispo
DALTON REALTY CO.
BATISSE BANQUE UNION:
f 4 “
vres, en pufficuber celle de ln
presse cathahique.
* « PE +1 (Te d
Cette adresse est répondue par
he ge ag paroles. sur la néces-
sité de la bonne presse. dans nos
sitions de Ja nouvelle loi électo:
rule, a été appelé à exercer ses
droits électoraux comme un sim-
ple citoyen,
Premier Etage,
\ l'assemblée des contribuables! procurer ici tout le boïs de sciage | retour de Rugby, N. D,
de Fécole Cléophas, M. Onésime dont ils ont besdin, « sera sous te
Doisvert a été élu commissaire, lun court délai que nous verrons Quelques-uns de nos paroissiens
retiplagant M. Coohe, irlandais, fees trois notiveanx foyérs cana-lse sont rendus au Collège {le
a nation des conseillers mu [re qu'il y aurait des marchés très! Nous le pensons fortement.
Biéipaus, M, Gamble, anglais| avantageux à faire pour les per-|, Depuis trois années que les ap-
DProtestant de Swan Lake, s'est }sonnes qui voudraient acheter des!
présenté pour briguer les sutfrn-[terres de ceux qui ont [f
ges en opposition contre M, Ter: [leurs lettres patentes, laucuu travail n'avait été fait.
vien, Canadien- francais, maire de l paraitrait qu'il va des Gali-|
la municipalité de Lorne, La jour-fciens qui, voyant le nombre
déjà eu
des!inent de construction de la
1!
\ vie à chanter, Il a été si ému! l'oiseau moqueur, j'ai tont compa-t vif et plns fortifiant : une ntmos:
par ce cri, que, malgré son carac-|ré, étudié, retenu, et il n'y a point,|phère rafraichie et purifiée par
ve paisible, 11 ne parle de rieu!sous ce rapport, d'invention silles eaux limpides de la rivière lui
Hume que de partir
|
“Lelteur daigne prêter
14
Î
ications avaient été signées par! tits enfants”, et À l’autre en nous
majorité des paroïissiens, mais | exhortant à,
La semuine dernière le Départe-
Cie |
familles, Ensuite Mgr administra
le sacrement de Confimmation h
une quarantaine d'enfants.
Læ soir, à 7.15 heures, la foule
est encore réunie au pied de lu
Sainte Vierge duns Ji récitation
Aussitôt après; notre bon Pas-
une oreille
bienveilante à tous les voeux de
bienvenue que lui offreñt les en-
\funts d'école, Ce sont deux adres-
connisaire sortant, ens-français s'élever parnu!Saint-Boniface pour assister à la
Malgré la vive opposition de ce nous, {soirée du 2 décembre en l'honneur
dernier désirant faire nonmmer un NOR ide Myr Béliveau: tous sont reve | du chapelet,
taghus protgstant, les Cansdienst [lv a encore autour d'ici quel-|[nus enchantés d'avoir entendu!
du distriet ont su adinirablemem [ques terres vacantes qui ne selcete jolie comédie intitulée
tenir, eh défendant leurs droits! trouvent qu'à 4 ou à milles des | Voyage des Berlurons”, ‘
ner chars et en s'éloighmt de S à 9! RTE
Nos plus vives félicitations a fmilles on peut encore choisir d'ex-! Nous entendons parler de l'ins
Aves cellentes terres exenrptes de roches! tallation du téléphone dans notre
sde et de gros bois, | village et dans nos cantons,
Mur 2 décembre, journée def Nous avons aussi raison de croi-| Est-ce là du matériel d'élection ?
juant ces belles paroles de FEvan-
gile: “Laissez venir à moi les pe-
conserver notre lan-
loue materrielle, avec des accents |
qui feraient vibrer toute poitrine
francaise,
|
RÉ ER RE PE
me mt
La Commission : municipale
chargée de dresser les listes élee- [=
torules était fort embarrassée dé
savoir si Victor-Emmanuel enten-
dait user des mêmes droits que
tous ses sujets. ï
La Commission prit le parti de
demander une audience au souve
rain,
Fort aimablement, Victor-Em-
manuel reçut La délégation:
res, papier à couvertures,
Moellons et blocs de béto
Messieurs, fit-il en souriant, x
grosseur, sable, gravier, etc.
je suis au courant de l'objet de vo:
Ë
|ses, une en anglais ét T'iutre entre visite... Laissez-moi vous di- Glaces de fantaisie, fenêtres, vitres,
français, |re que si je suis roi, je suis aussi ; % ÿ à
Mgr répond à une’ en expli-| un simple citoyen de Rome, Et je! Portes et chassis, cadres et moulures, bois tournés, Or-
m'empresserai d'aller moi-même
déposer dans Furne mon builetin
de vote...
Et. en effet, le jour du scrutin,
Victor-Ennnanuel, accompagné
simplement du général Brusati,
se rendit à pied à la section du vo-
|
thtttttitihtietété tt
TEL. MAIN 2625-2626
1
ne Vois rien que le calme et
ltranquihté d'une délicieuse soirée.
{Quel malhenr que notre situation
In |
—— ne rnge ns cesse ne mm emenreint pese semis m0 cas : + memnamenamenneenue
souffrance atroce peut seule le lulsans doute, en leur langage et au
arracher, comme aussi parfois|tant qu'elles le peuvent, le secours
une terreur excessive, Je suis sin |de l'hômine, Il se sert d'elles très
nements intérieurs et extérieurs,
La Cusson Lumber Company, Ltd.
déteste 444444 + ++ ++
RADAR RAR LL A RARE LED 22 RAR RRRL 2222222222,
uelques Unes De Nos Lignes
a
Ferronneries pour bâtisses, papier à bâtisses de tous gen-
n, pierre concassée de toute
SAINT-BONIFACE, MAN.
détttttitéhthésirieethtésétéstess ++
vrtttt
+
qui, n'ayant point vu le soleil pen-
dant toute la. journée, à perdu la
direction des quatre points cardi-
en guerre diabolique à l'aide de laquelle les! fit aussitôt éprouver une sensation | soit si triste! Cé spectacle, en tout|que mon cheval, à l'heure présen-|souvent; elles lui rendent, dans!naux:; à l'heure préseite, nous
pour exterminer les Maquas, En-!Mingos puissent me tromper, Oui.lde force et un relèvement de vo-lautre mormbit, nous paraîtrait|te, est la proie d'un animal féro [d'autres entrées, de nombreux |commencons à reconnaitre les si-
core sil s'agissait d'un combat|dit-il encore en s'animant de plus! lonté dont il se sentait le plus!bien beau: 18i vous pouviez vous|ce, où bien il prévoit un grand/services: ear au fond des bois!gnes qui d'ordinaire dirigent no.
Avec les SuIVAges, nous savons|en plus, j'ai entendu les bois gé-!grand besoin depuis plusieurs| imaginer, Cora, que vous êtes ici danger sans avoir aucun moyer| nous n'en avons guère, et depuis|tre marche, et le sentier devant
to que c'est, et la chose serait {mir comme les hommes dans lulheures déjà. La brise ridait lnlen toute -sfreté, ce qui augmentelde l'éviter, Il m'a été impossible |trente ans je n'en ai rencontré que! nous est dégagé des épines qui
vie nrrangée,.." Puis ét hom-! peine, j'ai entendu l'éclair flagel-| surface des enux et semblait aug |actuellement votre terreur seraii|de reconnaitre ce eri quand nous! fort rarement: il est juste néan-|le couvratent, Voulez-vous HA in -
| iple et droit murmura plus|ler les airs et craquer comme une|menter encore In vitesse nvec la-| pour vousisns doute la source d'u-|étions dans la caverne; mais ici.| moins que l'homme aille à leur ai [tenant vous assoir À l'ombre de
ww: “J'ai toujours été persuadé! branche morte, en dardant duquelle elles se précipitaient duine nouvelle jouissance. en plein air, je ne saurais avoir|de.+-l'nens, ajouta-t-il, descendez|ces rochers! elle vous cathera
que dé semblables cris entendus! haut des cieux sa flamme four-!haut des rochers dans les profon-! Ecoutez !? dit”vivement Ali: He plus léger doute; je n'ai aucune[la rivière dans le canot et allez! uienx encore que celle des pe
entre ciel et lu terre devaient |chue: et jamais je n'ai pensé en-|deurs du gouffre avec un bruitlce en saisissant avoc angoisse k{crainte de me tromper: ces cris! jetér un tison enflammé an milieulet vous attendrez ce qu'il plaira
présager une guerre dune autre! tendre autre chose qe ce que le! semblable au roulement du ton-tbras du major. 3 ce sont assurément nos chevaux|de la bande furieuse: autrementlau Seigneur d'ordonner de nous.
espèce, Ah! si nous ne devions! bon plaisir de Celui qui tient tou-
it
î
voir affaire qu'à des sauvages !..
V'ous avez tort de vou: trou-
tes choses dans sa main se plai-
suit à faire résonner à mon oreil-
nerre, La nuit était profonde et
la solitude complète, et, sauf le
murmure de la brise et le gronde-
le. Mais, je l'affirme de nouveau,
ni les Mohicans, ni moi, qui suis
un, homuie blanc, de votre race,
sans aucun mélange de sang, nous
d'ou
bler ainsi, dit gravement Cora: si
ous devons lutter contre des êtres
surnalurels, nous n'avons rien à
redouier ici plus qu'ailleurs, et je
ment de la cataracte, tout sem
blait tranquille et reposé, La lune
s'était led dans un ciel très pur
et très transparent: ses rayons
Ué Vois pas que nous avons de sé-[ne pouvons comprendre s'étendaient déjà au loin sur Ja
veux motifs d'alarme, Etes-vous! vient le erisque nous avons enten-|rivière et sur les massifs des
bien sûr que vos ennemis n'ont|du deux fois déjà en si peu de! grands bois, si bien qu'au pied des
L'avis était pour le moins inu
tile, Pour ln troisième fois, le mé-
me cri verrait de sé faire enten
dre: on eût dit qu'il partait du
sin mêne des éhux, comme si
l'être qui le poussait sé fût trou-
vé au milien du lit du fleuve: de
à ve son lugubre se répandait de
tous côtés duns les bois d’alentour
répercuté par tous les ééhos des
qui les ont poussés.”
la peur fera ce que ces loups ne
Le chasseur ets les deux Mohi-l peuvent faire, et demain
nous
de
Veuillez, ji bvous prie, ne parler
qu'à voix basse, et peut-être vau
caus, entendant cette explication,| nous (rouverons sans moyen
l'acceptèrent avec la plus grande! transport pour ces dames, et par
simplicité, mais en même temps|couséquent dans l'impossibilité de
avec le plus vif empressément., 11! Y0Yager grand train quand il nous
est aisé de voir qu'ils étaient troyr| #14 pourtant sl nécessaire de dé
heureux de sortir d'un ordre d'i-[camper en toie hâte,
dées où tout était doute et inquié- VIT
: À 0 Es RER Een re SC RE SRE re 2
draitil mieux qu'on ne part.
point du tout et que chacun, d'ici
quelque temps, se contentât de
s'entretenir avec ses propres pén-
sées,"
» Jln'v avait plus dans le son de
voix ni dans toute la personne du
pas inventé ce ri nouveau et plus
temps, Nous nous accordons done
rochers, où ils se trouvaient main
tude pour leur esprit, et ils voy-! Déjà le jeune Mohican prenit
votre esprit{ Ts auront pense, Voilà qui est extraordinaire, Profitant de la clarté qui met-|sons si étranges ét 51 terribles!
que, ss purvenmient d'une fiçon!murmurs Heyward en allant|tait relativement tont en*-pleine|s'écria le chasseur eff préie à un
s i ë
rochers,
“Oh! se trouvera-til quelqu'un
qui puisse-donner un not à des
à pen$er que ce signe nous est
sflravant que les autres pour es -
donné pour notre bien.
siyer de porter le trouble dans
tenant, l'obscurité semblait redou-
blée.
quelconque
terreur,
fac le
Madame, dit le chasseur en se
prendre dans un coin de la caverne
ss pistolets, qu'il v avait dépo
“és el entrant; mais VOUS avez
ù vous frapper dk
lumière autour d'eux, ils prome-
nr victoire serait plus
nèrent leurs regards, cherchan
avec le plus grand soin à recon-
haitre sur les deux rives du fleuve
véritable désespoir. $
qu'un ici 7. s'explique ce phéno:
ï
niène, qu'il parlé: quant à moi, je
‘il v a quel-
raison, jl ne faut pas s'endormir
redressant et en prenant une pos |stnis savoir avant à quoi s'en te-
j'ai éeonté pendaut}nir. Est-ce un signe de paix!
drente ans tous les sons que l'o1, | Est ce, au contraire, un signal de
peut entendre duns la forêt, ‘je! bataille? TI} faut Sen inquiéter
les ni écoutés aver toute l'atteu. | dans les deux cas. Voulez-vous me
quelque signe qui pût leur faire
comprendre la nature des cris ef-
fravants qu'ils avaient entendus.
Les deux soeurs, n'osant demeurer
seules dans la grotte, avaient sui.
11
souenmnelte,
tou qu'un homme sage puise! montrer le chemin, l'ami, et jelwi le major et arrivaient à ce mo-
apporter à une étude doû dépend|vous suis ment sur l'espèce de plate-forme
sa vie: dans les bois, la vie de! Hevward, sorti de la caverne! placée en avant de la première va
verne,
Je ue vois rien ici, dit le
ox à demi-voix à t'éréille de Co
ra, qui vesait de"lé, rejoindre; je
Phomue dépend souvent de la fi | pour entrer dans Je passage, ou,
san oué! pour mieux dire, dans ln crevass
la sépurait de l'autre Pièce!
wutit rani
Mess” de ses organes, de
surtout. Depuis le huplement de! qui |
tanbné pur un air plus
la panthère jusqu'au sifflement des
tit tie
Pen USE
h
sh ahes 4
W'estune pas que ces sons puissent
appartenii à la terre:
Oui, dit simplement le major
en s'avançant vers Ini, oui, il y
lei quelqu'un qui peut vous dé.
tromper, Maintenant je reconnais
fort Lien cet appel désespéré; je
l'ai entendu plusieurs fois sur les.
champs de bataille et en d'autres
octasions, encore qu'il se repré-
sente plus sonvént dans la vie du
soldat : c'est Tl'horrililue cri d'ago-
»
nie du éhevat qui va mourir; une les malheureuses
aient avec plaisir des idées plué
accessibles prendre la place
leurs sombres et inexplicables pré-
ovcupations, Les deux sanvages, si
del not et exécuter l'or
llinents prolon
ses inésures pour rejoindre le ca
qu'il ve-
nait de recevoir, quand des hurle
gés partunt du bord
.
sobres pourtant de munifestatioñs|de la rivière se rent entendre
extérieures, poussèrent immédia: | pendant plusieurs -‘ininuies, jus
tement en leur langue une excla- qu'à ce
mation de surprise et de joie: eille fond
u'ilsse perdissent dans
des
bois; les loups. évi-
Oeil-de-Faucon, après avoir paru! demmment abandonnaient une proie
se recueillir un instant, répondit! qu'ils ne pouvaient atteindre, où
au major: quelque terreur subite et dont Ja
“Je ne saurais nier ce que vous|cause demeurait inconnue les
dites, car je connais bien peu les! avait dispersés et mis en fuite.
chevaux; ivenavait, à la vérité} Unens rentra nussitôls et ces trois
beaucoup dans le pays où je suis! hommes tinrent encorelentre eux
né, mais on n'en voit que rarement | une nouvelle conférence. Au bout
dans elui-ci, I est possible qu'une de quelques minutes, le chasseur
troupe de loups ait pénétré sur leise détaeha di groupe, s'en vim
rocher qui-s'avanee sur la tétl retrouver le major et lui dit:
même de vas pauvres montures, f “Nous avons <é ce soir, les Mo.
et moi, comme ur chasseur
SE LES A D Ne Du
g
4
#5 bêtes appellknt|hicaus
L
Te
*
chasseur l'apparence du moindre
trouble; il Wen prononça fus
moins ces paroles sur un ton gra-
ve et sérieux qui fit la plus pro-
fonde impression sur ses compa.
gnons La faiblesse momentanée
qu'il avait réssentie avait complé-
tement disparu, grâce à l'explica-
tion donnée par le major Duncan :
il m'était plus impressionné pat
ces dangers mystérieux, hors de
portée, pour ainsi parler, et dont
son inexpérience n'avait pu saisir
la cause vraie, D sentait mieux que
x
perfonne sa petite troupe était
da une situation encore fort
prŒaire;
(A suivre.) & +
1913 LA LIBERTE 7
h pé fondamen.! Berluron. ancien commandant.|le reste » e et vie. d
: : a
4 4: L'an Css Py
) : ] à nt” dt mire de rhüuron, M. A. de Marge ltage sur cette liaison, a:sa nner BRANDY
shit AS que dr L . Lnisitis me: Lucien, f le Berluron, NL !et servir .
Ponifare à Phone" dal bai ont Lath | K éonsillonel Goulet: Jules fiancé de Cécile tr D ———— à =
j ere CA dé-ln e et be pre Je | Berluran, N, Laporte: Francois,
Manitota. Ski] rer + lomestique de Berluron, L. <-, UN PALAIS ROULANT CLAUDON & CIE, COGNAC, FRANCE
formés c'est! jé een 6 rh ; w…z: Javarajah. prince des Indi-| x
aire | hr ! us PPS TS EE D: + Zadie rétair.| Un correspondant du “Dails garantis absolument purs et naturels
Ouest ' : An prince. A. Brunelle: Michon | Mail” à Vienne écrit que l'arrivée
tat de la confé-! p,., / P pi mr obiar here mes a PP TNT A. Bohémier:-Zidor. la: cete ville, l'autre dimanche, irappe. par boutéille
M oepetenr Drunet à 7 ’ t 2e plaisir Ge me 7 dons dé Mihoannet _.t{uu train spécial le l'empereur
ï m des 1-0 A nat rs | to Pois M tin sue pr LL de! TAllemagne x causé un grand Dix Ans, pat
t 14 | frère d ) à ] ( " essante, Re-| lournens Laflèche: Le Ca | mouvement le curiosité, car 3] |
vra + Provencher a!T, , e ee LE itaine de ger Sara ro : Gon | diffère \bsolument des trains im \u
le M. B tet a | l 220 foie l'ovs N 1 rie nu lors Fa d'R tion, L.-P.|Périaux qui servent à Ja familk vd
nids COTE Ce CAISSæ (4 6 il Masug {) \mateurs', les ser 5! Gagnon: Des E isettes, directeur ! ‘MP: riale d'Autriche duns ses dé 30, 83 Aus,
TE a fonctionne | cheat re . Des VE né k + le la prison, L. Roy: Raphaël,| Pements et qui sont simpl + lon,
es à. eZ 1 . . So \ Î Ep FT MT LOIR he, à. Barré: Duchan | modestes comparées all Iuxe qi a
F | ca | IL f { nav: rofeseur, A. Doiron: ] | été Ant té par ie train impérial +
‘ met it et < ! l Président de la Seetion des Let. {11emand, 2
1 | © le HE, P M tres, ( Champagne: le Président! Le train du kaiser est exterie La Cie. RICHARD, BELIVEAU Ltee
LE l Ps | 4 D { VO 1: x | dela Section des Sci «, M. Be-}"ement bien pale et blanc ivoire
nq «0 C'hampacs \ Rp [T4 MA SAN s PE Un gardien, A. Préfontaine : | omprend six wagons LES es Maison Fondee en 1880 —
, : nef les 4 son! Re SA % nl Petit facteur, W. Royal: Fm nimes [in sont 7 sg" To r: A 330 Rue Main Phones M. 5762-5763
tout po i ln Da O1 ' Dien " done store ee dr ers, Secrétaire, Gendurmes. j'ous sont éclairés à LElectriCile € ÿ
L | le th Lau Bee" LE 1 risque V peraim \ à lle parquet du enlon est fait avec! : :
‘ e co NAS SE o indez à Léo nu pe os DIM OE Winnipeg.
) | tout uni arné a dE 1: + + | jou son trésor, L'empereur du
EL Da t prutiq Le à, PM et M } e l'athlétisme! | ce mo br à des passerelles permet-
et € uit trop! x nt Es à -es troupes de pee k vus
1 té { ! ‘ \eadérmis z 1 t von Ce salon est meublé de tn COI LEGE E INT-BONII ACE
ha r à faire ] Ï Mi pot tre part, vous aurez ainai|bles et de chaises fabriquées en vé # ; D ” SA à 2 ‘4 ne
( ! Dé! ns | Art [ | ro ï les oignons glacés : ritable cèdre du Liban. donné «a J
| 1) ; Fr | nl , le aux _carattes,-Cou |l'empereur pe Abdul Hamid,
| | ‘ L gag ittention s carottes en tranches rondes|l'ancien sultan de Tur quie, Les
iltat * 4 s \véur de l'épaisseur d'un sou. et faites. | voitures che munies de ressorts
‘ t e lecon! ? 1 l » ls bien euire à l'eau bouillante et | spéciaux supprimant tonte espèce |
le commerce, un ap} re dufieur: PR, FR \. ilée, Vons les égoutterez ensnitelde vibration.
er d iffa lBariheu: Fhon Fosenh M L'état Ovide est, les remettrez à la casserole ivec | Le prix de revient de ce palais
ar | | inchel is, 54 > À La fi e li nl in bon feu: laissez à pel ine fondre |roulant, sans compter l ameuble |
vie Mer B in à gra lé Pr ; Eh . CV -. A 1; F baisse. [le beurre et mettez les carottes sur piment, et les richesses artistiques |
D belle tin RE AY a w 1 pour Jelun plat. [qui SY trouvent, est estimé à 790...
ment | 1) Il | ; Î \ I ses, Vous tiendrez prote une belle 10900 francs
| \esdémie. Proven-{ Shan de In Ci \i:Do ) nent, fei, que les!°ntre-côte épaisse d'un doigt TE | tn e————
[EN 1 RG { J.-L Ï n° j liane ce VOUS aurez a=s<01 sonnée le
Dr J.-P
Raleigh: 1 L' mollets delle poivre et fait cuire, en dix mi. UN SINGULIER
{une « toy el JB Leclerc: JM. À on use prin. [utes-dans du beurre, Vos la po COFFRE-FORT
a 1 \ Per \ VA E. Leo \ .
xf ra ‘rez sur des carottes.
| ; . ina | PT Ù “dt é
‘ en lre & Blen np & Cie: Vous aurez également préparé | Voici la copie lun intéressane
1 { I 1Î Mao E V.K I in roux en délavant. dans du fentrefilet sur le trésor du sultan x
{ \ à | # k. | Il errc!benrre fondu, une cuillerée de .fa- du Maroc en 1724: “ Re Afûlié à l'Université dun Manitoba. Deux coura classiques, l'un
[ s F el Buand Ca Pur. : nti juartiers delrine que vons aurez laissée rous “Si, an dix-huitième siècle, il français, l'autre anglais, préparent au titre de IH, A. de l'Univer-
; 1& Cie: Jan Ma Bla R € eux du ju-!sir, sans excès, puis mouillée avec} ny avait pas d'intervention euro sité, En outre, cours commercial complet, Vaste terrain.
] M ù Lait remar Eh ( : [line = | we. () \ { / ide l'eau, On met du sel et l'on fait | peenne tn M roc, l'emipere QE Pour ronscignement ‘adresser nn
| nande des] Lane & Cie: lu Cie ( , \près une absence qui mijoter vingt minutes ce roux |! réstidait lors” il Méquinez. REV. PERE RECTEUR,
] , fa payer pOur Ltod Mie 7 . Ï « tôt longue. Jean !auqu | on ajoute, au dernier mo: | AREL souvent 10rl ti se plain Le de Le Collège, Saint-Honiface, Manitoba,
\ L 11 + CAE Jol Mai + Hicha h , = parmi nous! ment, toût le jus de l'entre-côte. [= sujets qui phtAopis nmeon quel
' l iande d'é fôt ( A 1}. : Ilôte!l “ ’ re à 1 1 ioic''et à | On fait alors donner un bouillon. {uelois pour ni voler son HPLC, La nnrnnn cmm a
> al detre Gi 1 M. Men , fa Bienvenuel vivement: on verse sur l'entre-cô-[ Cest ainsi qu'on Ini ,déroba un r
? dé 1 eo hr ‘de pau-| >. . te et l'on sert aussitôt. jjour son trésoor, L'empereur sd J. B. LE LER( D.R. B. ARIBAUL F, B.A. Sc.
td à Îl croit ain | ge : + à {Maroc fut obligé de prendre les | INGENIEUR CIVIL et ARCHITECTE
itio 1 e contrib 1 FI PE a ; $ | lus minutienses précautions con: | Dipicmé de l'école Polytechnique,
i nant OUT , : : Farte, par es élèves] Tourte aux poires. — {Choisissez Ve l'habileté de 2 sujets, Hi fit| Bureau de Tabac de Tabac Architecte enregistre. du. Manitobæ
ar onto DE ti Président du.CÇon les , tuct 1 Mer liVean! quelques belles poires bien juteu- fondre l'or et l'argent et on lit | d Suites 11-12, Banque d’'Hocheraga
. ! | es @t pal Lassis-lsos, Les avant pelées enlevez leurs De NT 2 AE 3 | TEL. M 3009 | 433 Rue Main, Winnipeg.
Bonif | / ) | | ù mr des pains d'une certaine épais-| Télé ts
M Dlun etio dE D Î era y encla ( * rio avec lequel! pé pins et coupez-les en tranches, eur, puis il fit mettre une _tren (15 Ave, Provenci St, Boniface | ë ren Main 1040
x Pi es Ù leman, [M9 les Universitaires 1 mplivent Jeur role, | Préparez une pâte feuilletée : faine do cer pélns dans Pitt ve, Frovencher, , Boni ace »
voa 0 ia \ mairie, deman ] « ed L | ’, RAA TEA à S s s | { -
le de | ‘di ï seen a 1 : PEU 4 02 du gne à en une tourtière: pic quez | d'une grosse poutre, On couvrit |
e de le Juger sur son se, ‘evtrain et ‘de l'enth ET [or | hevêaue |
A Pas Fr SV : { th Ï 1 ( { \ \reh x La À e fond avec la pointe d'un cou- | cette poutre avec une autre de la | à soÉdoE >> 1 + DR. N. A. LAURENDEAU
ent nt \nhro ! : : »o Es DRCIEN ST EIATESS Sp Pi lis rangez-V bien égale- même grosseur, et on les joignit à! à
CR RP Fe pl ; Ba tance, ler vire-pré-lment les tranches dé poires San l'aide de plusieurs boulons bien || Aert Oubuc Jacques Mondor || ANCIEN INTERNE A L'HOPITAL
’ lémat rit Va \ssosintion . 4 ESS de sucre blanc et placez tite dé crclas de” tt qui em | AMoCe ReRNURe DE SAINT-BONIFACE
otr h «d ractueti \ tenu , té MY x: ! ny n F [er | A in PR RITES NT ! | : Has
hier soir une importante réunion. |: tif. Qu Hans Man | à aies nn : HQE AVE Clbrassuient les deux poutres. C'est Bureau et Résidence Tel. Main 1392
ne rue réon ematé Qu Fe ee ont te ee ee da de pot CC DUB MOKDOR& BEXURY |
La été d lé que le 15 décem. FOh! il \h Lt l; mit en rappelant! an four chaud x cette manière que le lan ca e | ü, 163 Avenue Provencher, St-Boniface
bre, lundi prochain, les membres liens x RP AA SE LAS nr. ! a l'or et l'argent qu'il ne put | Avocats & Notaires
: . . , | {1 , ittachaient 1 Au sortir du four, versez sur pas enfouir AE HS la terre PURES
ro ere ln othcter \ leur! l s et en faisant | los poires une mince couche de ge- |! l + ‘ AT PAT
| | viendror | : DA | | : 5 "Le souverain qui se faisait 27 et 28, Edifice Canada Life
OC: pus + lront \ la salk COIN DES PETITS tir Ja valeur du rôle-qu ils] lé e de groseilles qne vous aurez ‘Gnstruire un si rt cbffre. Coin des P Mai 4 Achetez vas remèdes Chez
d 1h rencontrer les vétéran , à os 4 % 7 PR Pas { S ang oin des rues Fortage et Main.
| l ; ( i-—Un 0 le gour à 10 e moine, battue pour la dé avr en v met-
+ mbre les rnembre u | À
- AR re 1 a Né a Ue SP | À Nate Ar | fort ‘hit ce fameux Mulev-Ts à
clnb courront: la Guignolée, Ces | ne itenient au) Le Voyage desBerlinons | tant, Re PCA, UE LOUE maël, qui mourut en 1727, et an || WINNIPEC, man.| R: À McRUER
MAAF: je FROREEL, MS À 0 He MOTTE RUE ar à " {près duquel Lonis XIV envoya PHARMACIEN-OPTICIEN
= € ri : Huitier poste Enmihen, | < lLout notre bon l| wservir froi :
: AP * RP "à Tel. Main 583 et 8696,
tre 10N-! Joan ét leurs au le , Moudor--recueillirent de nom-! | es pre 1 comme ambas- || 84 Avenue Provencher . Tel, Main 6604
: CAR! 1 4 1 » A Me, LE . : L L sa à . n 698. !
era M AU nbres! naissent cette noble devise, po + applaudissements, LAS 50 ST ae me SAINT-BONIFACE, Man,
: | reme & Don amie,—1)e +++ Lab
o 0 raquette [El voir entend ei dit 14 tutont Listr es, ‘11 $ Fr:
\ baro lu Sa C'ocui | À “A ri s lavez deux cuillerées le farine |
prniesseur. ( 8 Ts ivec quai oeufs, une chopine de! POULES BAROMETRES | , N g Lg
(| ( l les contribuables |‘ rème, une tableite de chocol it, | rene . | 8. L, AONFA ’ L ñl A] ‘
1 l l Vo Va \I eitr'on confit, fleur d'orange pra Un 4 ‘and éleveur de vol villes | ne de. È | DOCTEUR F, LAC HANCE
Curt fera <0 1boprt = ‘ad linée, le tout haché fin et du swla eu l'idée de transformer les!l Drs. Maloney & Kennedy Des Hopitaux de Paris.
ul Eee, aires. min cre, on fait cuire sur le feu pen-| poules de sa basse-cour en vént Le ys Somerset Block ANCIEN CHEF DES INTERNES A
{dant une demi-heure, en la tour-{tables baromètres, L_(Ep face d'Fatou, Tel. Main 3095. L NOTA Le DIEU, MONTRGAL:
| L > sr, , N * n rgie et Gynécologie
int toujours: on V ajoute un 1! suffit de mélanger à leur : s VIRE as ge ou ) :
\ Chiot: nutrofe peu de crème si elle deviént trop|uourriture du poivre de Cayenne, | Poser Portage. es d'a
PRET TN EE épuisse: bien cuite, dressez-la sur! Les poules blanches qui mangent Ad. Babue éduonbiidel Le PTT PT & Hamel, St-Boniface,
‘ \ viva à la cath le plat : en servant, Jetez dessus | cette nuixture sont A410rs l'objet Alfred U. Lebel Phone M. 2613.
| du sucre fin, passez-la pelle rouge! d'une transformation curieuse.
ne dt &— — —
AU COLLEGE
|pour la glucer. [Leur plumage, de blanc qu'il était DUBUC & TONER |"
u 4 avant ce régime, devient rose pâle.
|
A t - Notai |
Crème “Délires” — Proportidnel Des poules roses, voilà qui n'es! Enr RERIEeN L. A. DELORME
! ' : { FRA Jureaux : 201-205 KHdife " le la Socicté Légale
louze personnes : Mettez dans une | PAS banal ! Mais ke plu: bizarre, Bureau *x 201-2( _Hdifice Sc merset d la 50 t Légale
casserole haute deux livres de ‘est que ces poule roses (levien Portage Ave, Winnipeg, Mao, WILSON, MeMURRAY
nt x RE ES chocolat en tablettes «pt onc e à {nent rouge écarlate dès ne l'humi- Casier Postale 442 DAVIDSON Le to
| dé ES )X de sucre, deux ou trois gousses del dité de l'air augmente, annonçant | —_—_ :
Bureaux 703-704 Electric Railway
i
vanille: ajoutez trois ou di | pluies ou orages probables Lors Chaine
+ i une seule rx »
chopines d'eau, faites bouillir eti qu'on [LE iite as) un vue poil
remuant, de facon que le chocolat dans “il basse-cour, On Ha pl
‘, \f li, 5 d
AVOCATS NOTAIRES
Winnipeg. Man, Tel. Main 7221
n'attache pas besoin de baromètre et l'on _esi ALLEZ AUX
int 1 | 1 R. P [RE fois bien fonda et en ébul-! M renseigne que pal le \ 1e x =
r Le n . » . n . .
R ‘1H e wrosse ob) lition laissez cuire deux, trois et Maya. ST LIBRAIRIES Téléphones:
{ La [ruême quatre heures en avant soin! JennIU, Cest que Ja poule pan | Bureau: M, 4639 Rés.: M. 4649
ie eee a cg a Ce ne pu nel KEROACK | ent
pe 1 , ancre 1 l ne au pas en
jo va ) \ e co renez une casserole d'eau lans
: R [prenez role d'eau. dans[iager Mais DOCTEUR L. D. COLLIN
le gia 1 1 & Croctin el | IAQUEIM Vous phicez votre ecu di 1 lute des Me "vita
quelques él vo dent [inoire, et, très fréquemment reti-| Pour livres de prières, | e € y +
réliss faire, 1 ement, une (rez la croûte qui s forme sur ne Ml de comte us objets religieux, livres pr Srambre 08, Cademin See
b plutôt f ke | ‘ | hacolat en ébullition. ? classiques, romans, étc. oin Graham et Main, Winnipeg
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H | un | 1l n - h; et les oiwnort faire revenir.|? * Heures de bureau: 10 à 12 et ] à 4
- > 1» | : ” . e- ri 3 ttes), ir
\eurunt Das ' COIT for &! [a Il fera In | e à M. Bleuu, { 1 ae de Hhonbreux ajoutez assez d'eau chaude pour vo 8
ONER En 4 peut | sq art | $ asex d'eau c Phi a A Fe As ET SOA 6 _ BOUCHERIE ET EPICERIE
issister à ce ban: . Les va UAH à TELE î } 10 ice el delles couvrir et Msser care Jeu à]
L pee ja a rames des ra té, malgrélee que les pommes de terre et les J. P. RALEIGH, D. D.Ss. 2 ” = “ L. GAGNE & 5, muse
mrt. Mais les va us d ù balle! nl saint-1 face, e, de briguer|dignons s'écrasent facilement. ‘et OUNTIÉTÉ J à: BEAUPRE Angle des rues Aulneau et “amel
1 “hip ava : chance rie : \ L | L Ne . i suffrages ie l'enu soit bminnée Passer Gratis as n M'A à ob. AVOCAT, HOTAIRE, Etc, “je ne aCM
prend un ballon et à la ha ul, crane es ure-adii tte purée an tamis fin, la remet Bureau: Chambre 312, Bluc Mcintyre TEL. MAIN 1285
manier, les convives se chiffraien us ons NE ivte, progressive etltre dans la martuite avec le lait.! Bureau: WINNIPEG, Man. sn
162, Et ils pouvaient se comptes N&. 3, C'andlid re M, D *1q \ \ lu furte taxe, faire jeter nn bouillon, Dans lal 817 Portage Ave., en face d'Eaton | Bureau: Phone Main 1554. Achat de tous produits de ferme
facilement ceux que Ja deveine mire sortant de charge, il ne fut Saint 'd face et le progrès. jsoupière mettre le jaune d'oeuf, Telephone M. 4244 Residence Phone Main 1832. SAINT-BONIFACE
à
Sen
ES
A ému
é
ee RES
u décembre 1414
" innipég, Man.
The First Canadian Estates Limited
COMPAGNIE À FONDS SOCIAL, AU CAPITAL AUTORISE DE $1,000,000
Incorporee par Charte dela Province du Manitoba, le 17 Septembre, 1913
Les promoteurs de la Société “ THE F RST CANADIAN ESTATES, LTD." sont heureux d'annoncer au public de langue francaise la formation
de cette nouvelle compagnie fonciere et financiere, et d'exposer les principaux faits se rapportant a son organisation:
OBJET :
La compagnie a pour objet toute opéra-
tion ayant pour base la propriété foncière;
les fonds seront placés dans l'achat d'agree-
ments, les prêts hypothécaires et l'achat de
propriétés de ville et de fermes dont la revente
est déjà assurée avec un profit raisonnable.
CAPITAL:
Le capital autorisé est de $1,000,000, di-
visé en 10,000 actions de $100 chacune. Cha-
que action se vend au pair $100, payable $20
comptant et $20 dans 1, 2, 3 et 4 ans.
EMISSION
Les directeurs provisoires offrent en
vente au public canadien les actions de la com-
pagnie au montant de $500,000 dont $200,000
AU MANITOBA.
Les souscriptions déjà assurées à Winni-
peg, St-Boniface et quelques paroisses avoisi-
nantes se montent à $50,000.
La souscription de la balance c’est à dire de
1,500 ACTIONS, est ouverte jusqu’au 28
décembre 1913.
ASSEMBLEE:
La première assemblée générale des ac-
tionnaires de la compagnie se fera en janvier
prochain et sera convoquée par un avis spécial
de 10 jours envoyé à chaque actionnaire. À
cette réunion les actionnaires présents ou ré
présentés par procuration feront l’adoption d
réglements et le choix des administrateu:
pour l’année 1914,
Nous engageons ceux qui veulent fa e
des épargnes comme ceux qui ont des somr..es
à faire profiter, à acheter dès maintena que!
ques actions de la première émission de capi-
tal de cette compagnie.
Les principaux avantages qu'offrent les
compagnies de ce genre et qui font de leurs
actions de bons placements sont:
lo—La conduite des affaires est confiée
à un conseil d'administration composé d'hom-
mes d’affaires compétents qui, par leurs rela-
tions professionnelles ou financières, sont en
mesure de faire bénéficier les intérêts de leur |
compagnie,
eee ee nt mn eme
+ une non cames ne ne
20-—-Une compagnie foncière bien adminis-
trée n’a pas à craindre comme les individus les
contre-temps d’une
qu’elle dispose généralement de plus de capi-
taux, parce qu'elle tient une partie de ses
fonds dans des valeurs pouvant facilement se
convertir en argent, et enfin parce qu’elle peut
recourir à son fonds de réserve.
30—Le crédit provient de la solidité de
l’entreprise qui fait appel au capital et de la
sécurité offerte. En mettant leurs fonds en
commun, lès actionnaires obtienrent un pou-
voir d'emprunt et commandent un crédit con-
sidérable qu'il serait impossible d'acquérir en
faisant leurs placements individuellement.
C'est par l'exercice de ce pouvoir d’em-
prunt que les compagnies réalisent de forts
profits, payent de gros dividendes, accumulent
une réserve considérable et augmentent conti-
nuellement la valeur de leurs aclions.
À titre d'exemple, nous faisons figurer,
dans le tableau suivant, certaines compagnies
canadiennes bien connues:
Canada Permanant Mortgage
Capital payé: $6.000,000.
Actif: $31,300,000.
Corporation
Valeur des
Anrées Profits Dividendes actions
1905 10,04 6.01 $117.50
1904 10.57 6.0 124,75
1907 11,43 6,00 111,50
108 11:50% A 140.00
1909 1159 8.00 160.00
1910° 14.40 8.00 150.00
1911 12.46", 8.00" 174.00
1912 1378 9,00 191,50
Capital payé: $1,750,000.
Actif: $7,817,000.
Valeur des
Années Profits Dividendes actions
1905 9,24 6 $128.00
1906 9.07 6! 149.00
1997 9,44 61% 131.00
1908 10.47%, 7.00! 130.00
19us 11,19 7.0 155.00
| ] ) | ÿ 7 ! 155.00
| | 12.03 8.00 164.00
À ê 4] 191,50
crise financière parce |
1
(|
| |
| |
|
|
|
!
| |
|
|
Canada Landed and National Investments |
Company, Limited.
Capital payé: $1,205,000.
Actif: $6,395,420.
Valeur des
Années
Profits Dividendes actions
1905 0.24 $128 50
1906 12.15 7.00 12400 |
1907 12,65 7.00 113.50
1908 12.97 8.00 127.00
1909 11,19 7.00 138.09
1910 15.53 8.00 166.00
1911 15.53 8.00 166.09
1912 15.41 8.00 156.09
Voilà les résultats obtenus par des cern-
pagnies qui ne font que du prêt hypothécaire.
La compagnie THE FIRST CANADIAN
ESTATES, LIMITED, en plaçant ses fonds,
un tiers dans les prêts hypothécaires (profit
moyen de 10 pour cent) un tiers dans l'achat
d'agreements (profit moyen de 20 pour cent)
et ur tiers dans les transactions iramobilières
(profit moyen de 30 pour cent), devrait pou-
voir dès la 2è, année payer un dividende de 8
pour cent de son capital; les profits produits
par le fonds de rèserve augmenteraient les
dividendes d'année en année.
Comme la compagnie se propose de favo-
riser la colonisation de langue française ou
beige par la vente de fermes, à termes faciles,
aux colons désireux de s'établir au Manitoba,
les directeurs auront recours le plut tôt pos-
“ble aux capitaux étrangers, soit au moyen
d'emprunts par débentures à 5 ou 6 pour cent
l'intérêt, soit en faisant des placements pour
le compte de sociétés hypothécaires de France
et de Belgique, car il semble que le moyen le
plus sur et le plus pratique de venir en aide à
ces colons est de leur procurer de l'argent à
bon marché.
SOUSCRIPTION:
Les directeurs provisoires sollicitent le
sunport d’un grand nombre dans chaque cen-
tre français du Manitoba. La souscription de
quelques actions, d’une seule action mêine,
d'un millier de personnes suffiraient à as-
AU SACRE COEUR tous _ les don | tr nd payens, _Au| Enemière Mosse dif heures, exc | Journaux: Francais
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devienne { Fe | \ . eur Li nn à à Ligue des italogue gratu Regardez le nom de
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F uoran É LR 1 ‘ La S Saint-Jean-Baptiste MOLER
pla \ 0 \ à | 2 din Coin de la rue King et de l'avenue
sa l P ] , À Pacifique, Winnipeg, ou 1709 rue
les tngrul - Ï ipêtes sÉ L'I 1 S Jos l | Broad, ou 239 tue Simpson, Fort Wil.
qui ent e RUU @ pur 1 i r 1 ju # es! 15,
vient dans la era e À | ‘Es & { \I cui Ont.
milieu des Juifs ‘ J6s 1 han ot L'AH Na 2 indi | Barbe et coupe des cheveux gra: |
crucifié et \ rt par eux, À l ï \ R. PF Lis e 3 8 1 ) | tis de 9 a.m, à +4 p.m.
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dinaires par le nombre et par leur ev ri AS 2 & Fe D r 2 = T 1, Conduire et à réparer des automo
rapidité, « ; É [) és. Mess p.m, biles et des véhicules mus par le
par eur } ï é= () ‘ ‘ TR eu x : Gar az. Nos gradués recoivent de $3
Les d j “ l'honneur n ;
Les douz \ \ Î tat eut l'A i $8 par jour. Notre département
ni argent, \ \ vre,|£ L'inaugura th DD le placement nons permet de pla
sances. À : "P ‘a fait soûx ur onttion en aura fic POCNAINEONT. | À à + % + € + + + + + + + + + + + + ; 7 | DE,
Mbandon « ] A Si a Rs "ra + 4 ‘er n0$ élèves dans de Données p0
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ss, Ils commandent ñ e para é si + \ ” + DEMANDE + sitions dès qu'ils ont gradués
‘abnégation, lu pro ' vue Il | 4 " AU À + — é+ Nous ensignons encore la plom-
et n\ hit , ‘ : + () lernu re + berk \ Driqueterie, € t Nous en-
pers ë ; i ( 0 "4 ‘ } Dür + pe / "
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did à k À 2 7 rancals et LH e, :
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dolatrie, adorat Satan, | l'Eglise pot + l. Lagosse, préfet, Saint. $ Omar School of Trades and|
sous tuile fortmws, 11 tient crorre fu ‘ ; } " ( : 7 . + À lolphe, Man. + Arts |
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ü FL pi ui et « i L : détiibatisa sites st 493 rue Main, Winnipeg. |
rer
Le À
CRC PP ES CT CN JR Ac 0e
surer le succès de cette compagnie que les ac-
tionnaires pourront diriger de manière à en
faire une entreprise nationale et une oeuvre
importante.
Ce sera peu pour chacun, mais beaucoup
dans l’ensemble.
La formule ci-dessous servira à la sous-
cription.
Les remises de fonds doivent être effec-
tuées par mandats ou chèques payables au
pair à Winnipeg, à l’ordre de “The First Cana-
dian Estates, Limited,” à l'adresse de M. J-E.
Brodeur, Chambre 12 Edifice Banque d'Hoche-
laga, Winnipeg, ou à L-A. Delorme, 704
Electric Railway Chambers, Winnipeg.
Toute autre information à ce sujet sera
donnée sur demande par les soussignés,
DIRECTEURS PROVISOIRES
L-A. DELORME
ERNEST GUERTIN
E-J. DUFRESNE
FORMULE DE SOUSCRIPTION
Je, soussigné, par la présente souscris
NRA PER à actions du capital de The
First Canadian Estates, Limited, d’une valeur,
au pair, de cent piastres chaque.
Je m'engage à payer chaque action, comme
suit:
Vingt ($20.00) piastres comptant.
Vingt ($20.00) piastres dans 12, 24, 36,
et 48 mois de cette date.
Occupation
Adresse
ED. GUILBAULT,
255 Main Street, - -
BANQUE D’HOCHELAGA
433 RUE MAIN
Notre linguiste parle allemand russe,
mien Nous sollicitons votré patronage
E. À. POULAIN,
Président.
The Guilbault Co., Limited
ENTREPRENEURS GENERAUX
| Materiaux de Construction |
| BOIS ET CHARBON
| En gros et en détail |
à BUREAUX ET ENTREPOTS:
Coins des Rues Des Meurons et Goulet
SAINT-BONIFACE MANITOBA
Téléphones Main 604-7442
Pour Cadeau de Noel et du Jour de l'An
N'oubliez pas les
BONBONS et CHOCOLATS
renommés de la
Confiserie Simonot
{Ancienne Maison Milton)
Winnipeg.
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e jusqu'à #10,00
65 Sucoursales et Agences au Canada.
Caoglial quiet. ;,..:,2 mean Le $4,000,6.1)
Cabot pal 554 io SONORE at $4,000,000
Néant 4h52 4 MTS VERTE: $3,000,006
E. BELAIR, gérant
Nous schetens et vendons tra 8,
Cr, argent, st billets de bangue des
WINNIPEG pays etrangers.
polonais, ruthène, et bohé-
Secrétaire.